Il n’a garde de se repentir d’avoir fait des Romans, puisqu’il assure lui-même qu’il les a faits avec l’Esprit de Dieu.
Ce grand homme vit avec tant de dégoût des objets si frivoles, qu’il félicite son ami, à qui il écrit, d’avoir préféré la tranquillité de la campagne, et la douceur de la lecture, aux fêtes bruyantes dont l’éclat frappe le peuple, mais ne peut plaire à un homme sage : « Lætor te animo valuisse ut ea quæ cæteri mirantur, neglexeris. » Dans le livre de la corruption de l’éloquence, que quelques-uns attribuent à Cicéron, et qui n’est pas indigne de lui, on assure que le théâtre est une des principales causes de cette corruption.
D’abord il se renferme dans un jeu d’escrime, et assure que par politesse « il baise le fleuret dont il prétend lui porter une botte franche ».