Après une Histoire abrégée de la Poësie Dramatique chez les Grecs, je m’arrêterai à considérer le caractere de leurs Tragédies.

D’abord, arrêtons-nous un instant aux principes et aux maximes de l’antiquité païenne. […] Voilà comment je conclurais, et ce serait sans doute la conclusion la plus raisonnable et la plus sensée. » « Mais ce n’est pas là que je voudrais m’arrêter. […] Voici, entr’autres, l’Arrêté que le Congrès a fait publier à Philadelphie, le 16 Octobre 1778, et qu’on lit dans le Journal historique de Genève de la même année. […] Ordonné, que cet Arrêté soit publié. […] Mais instruit par le Président du Congrès de l’Arrêté ci-dessus, il le remercia de ce qu’il lui apprenait, et ajouta : Puisque le Congrès a défendu les Spectacles, je n’irai sûrement peint.

Telle est de mon honneur l'impitoyable loi, Lorsqu'un ami l'arrête, il n'a d'yeux que pour soi, Et dans ses intérêts toujours inexorable Veut le sang le plus cher au défaut du coupable. » Personne aussi ne s'est jamais blessé de ces paroles barbares d'un père à un fils, à qui il donne charge de le venger.