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306. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE I. Préjugés légitimes contre le Théatre. » pp. 4-29

C’étoit une perte de dix mille livres par semaine : la chambrée entiere, de leur aveu, au taux courant, vaut vingt mille livres ; ce qui sur cinquante-deux semaines l’année fait bien un million.

307. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE II. Du Mariage. » pp. 30-54

Tout cela n’est ni de l’esprit ni du génie ; ce n’est qu’un grossier tabarinage que Moliere avoit cent fois entendu aux pilliers des Halles, où son père avoit sa boutique, & où il avoit passé ses premieres années, & dans les provinces, qu’il parcourut vingt ans en tabarin.

308. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE I. Faut-il permettre aux femmes d’aller à la Comédie ? » pp. 4-29

Le fameux Tiraqueau, qui pendant un assez long mariage faisoit chaque année un livre & un enfant, décide, & comme Jurisconsulte & comme mari, que la comédie est absolument interdite aux femmes : elles se moquent du mari & de l’Auteur (Leg.

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