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294. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II.  » pp. 36-74

Une Actrice à sa toilette, se proposant quelque conquête, coupant la bourse à son amant, faisant la prude pour le surprendre par la condamnation de la coquetterie, les flatteries de celui à qui elle a recours, priant dans son Oratoire, s’entretenant avec son amie, fetoient une fausse Judith, qui pourroit donner des scenes plaisantes.

295. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV. Christine de Suede. » pp. 111-153

Chanut, ami du Philosophe, Ambassadeur de France, ce qui est confirmé par une des lettres de cette Reine ou pour s’excuser de sa facilité à croire & à embrasser une nouvelle Religion, elle avance que depuis sept à huit ans, elle avoit des remords, de vives lumières qu’elle cherchoit à éclairer, & que Descartes l’avoit dessillée en bien de choses ; l’un & l’autre est possible, quoiqu’il en soit de l’aurore de ce grand jour & des Apôtres qui en ont ouvert la barrière à ses yeux ; ce n’est pas la peine de disputer à personne la gloire d’une si médiocre conquête, qui dans la vérité n’est ni honorable à l’Église, ni utile à personne ; dans la vérité comme dit Baile, quoiqu’elle professât le Luthéranisme à Stocholm, la Religion Catholique à Rome, elle n’étoit Luthérienne ni Catholique, elle n’avoit aucune Religion ; c’étoit une Actrice qui jouoit la comédie.

296. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre III. Autre continuation des Mêlanges. » pp. 45-87

Il écrit à un ami qui se trouvoit sur la route de sa maison de campagne.

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