Après les leçons que le clergé romain avait reçues pendant les orages de la révolution, les amis de la religion espéraient que l’Eglise, devenue gallicane (comme le demandait l’austère Bossuet), aurait modifié sa discipline et ses dogmes suivant les changements qu’ont apporté dans nos mœurs et dans nos croyances, la diffusion plus générale des lumières, la répartition plus étendue de l’aisance et de la richesse, et la conquête de la liberté qui a fait recouvrer à l’homme sa dignité. Ils pensaient, ces amis de la religion, que les prêtres auraient suivi, au moins de loin, les progrès que l’esprit humain a faits par les discussions philosophiques de tout un siècle, et par l’éloquence persuasive et retentissante de la presse ; qu’ils auraient banni ces controverses absurdes ou inintelligibles que, dans des temps d’ignorance, les avaient soutenues le fer et la flamme à la main.
La Signora de Cantelli, petite fille du célèbre Jacques de Cantelli si célèbre parmi les Géographes d’Italie et l’épouse de mon illustre ami M. de Tagliazucchi, Poète Italien de sa Majesté le Roi de Prusse, prouve à Berlin comme elle l’a fait à Rome dans l’Arcadie, que les femmes peuvent réussir dans les arts et les sciences aussi parfaitement que les hommes. […] Terée Tu vois ami, tu vois les cruelles douleurs Qui déchirent mon âme et font couler mes pleurs.
La première héroïde est une lettre de l'Abbé de Rancé à un ami. […] Mauvais pères, mauvais maîtres, mauvais époux, mauvais amis, ils ne font que gémir ou gronder.