Le Concile fait la même défense pour les images de dévotion, où on ne doit souffrir rien d’indécent, & il ordonne aux Evêques dans leur visite de faire ôter des Eglises tous les tableaux & les statues immodestes. […] Le Duc son héritier répondoit que les dépenses avoient si fort fait négliger le soin des Eglises de ses bénéfices, que la succession fut obligée de payer quinze cents mille livres de réparations.
Les excès multipliés de plusieurs membres du clergé, dévots par profession, les grands scandales de prélats, de princes même de l’église, ont fait peu de mal à la religion, constatés et transmis, pendant des siècles, par des voies ordinaires ; au lieu que la peinture dramatique de la perfidie d’un misérable clerc l’a ébranlée jusques dans ses fondements !
C’est par ces raisons que l’Eglise sera toujours irréconciliable avec les Théâtres tels que nous les avons.