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38. (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre XII. Que la représentation des Comédies et Tragédies ne doit point être condamnée tant qu'elle sera modeste et honnête. » pp. 237-250

C'est par où je finis cette Dissertation ; car après l'autorité d'un Personnage si célèbre, je n'ai rien d'assez considérable pour donner quelque lumière à sa doctrine, ni pour ajouter quelque ornement à mon discours.

39. (1769) Dissertation sur les Spectacles, Suivie de Déjanire, Opéra en trois actes, par M. Rabelleau pp. -71

Dissertation Spectacles. […] On s’amuse à de vaines dissertations dans tous les genres de littérature, Romans, Histoires, Comédies, Opera même ; tout est dissertation, & voilà tout. […] Pour avoir une juste idée de cette ville fameuse, voyez la dissertation sur les causes & les degrés de la décadence des loix de Lycurgue, par M.

40. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre VIII. Réfléxions sur le plaisir qu’on ressent à la représentation d’un Poème comique, & sur la douleur qui déchire l’ame des Spectateurs d’un Drame sérieux. » pp. 113-123

Dissertation sur la Tragédie, traduite en Français.

41. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « VIII. Crimes publics et cachés dans la comédie. Dispositions dangereuses et imperceptibles : la concupiscence répandue dans tous les sens.  » pp. 30-40

Lorsqu’on blâme les comédies comme dangereuses, les gens du monde disent tous les jours avec l’auteur de la dissertation qu’ils ne sentent point ce danger.

42. (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. -

Rousseau saura par cette petite Dissertation sur le Théâtre, qu’on a vu tout ce qu’il voit, mais qu’on l’a vu différemment : il pourra y remarquer aussi comment les gens vertueux se communiquent leurs idées, et que la douceur et la politesse sont les fidèles compagnes de l’honnêteté des mœurs.

43. (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre II. Que la représentation des Comédies et Tragédies était un acte de Religion parmi les Grecs et Romains. » pp. 36-56

« Sors que vous êtes, je représente un furieux. » Mais sans rechercher d'autres preuves de l'usage religieux des Tragédies et des Comédies, il leur faut attribuer toute la superstition des autres Spectacles ; Car quand les Auteurs écrivent que les Jeux de Théâtre étaient donnés au peuple par les Magistrats, et qu'ils n'en désignent point quelque espèce particulière, il y faut presque toujours comprendre les représentations des Poèmes Dramatiques, qui n'en furent guère séparées dans les derniers temps, et les témoignages des bons Auteurs que nous rapporterons dans la suite de cette Dissertation, autoriseront encore ces vérités.

44. (1825) Encore des comédiens et du clergé « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. 13-48

Nous pourrions développer cette dissertation et entrer dans de plus grands détails sur cette matière que je n’ai fait qu’effleurer. […] Je regrette donc de terminer cette dissertation après l’avoir à peine ébauchée ; mais du moins qu’il me soit permis de répéter encore, que vouloir arrêter le développement de la civilisation et le progrès des sciences, pour ne fonder le pouvoir des princes que sur l’ignorance du peuple et sur la superstition et le fanatisme, est un conseil perfide, inspiré par le jésuitisme et essentiellement nuisible à tous les gouvernements et à tous les souverains.

45. (1758) Réponse pour M. le Chevalier de ***, à la lettre de M. des P. de B. sur les spectacles [Essais sur divers sujets par M. de C***] « Réponse pour M. le Chevalier de***, A la lettre de M. des P. de B. sur les spectacles. » pp. 128-142

Bayle pouvoit juger d’un ouvrage d’esprit, ou d’une dissertation physique ; mais c’étoit à nos directeurs à nous apprendre le changement des mœurs.

46. (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — QUATRIEME PARTIE. — Tragédies à corriger. » pp. 180-233

J’ai parlé ailleurs des amours surannés de Philoctète et de Jocaste :12 étant à Londres je lus ma Dissertation à M. de Voltaire qui, s’y trouvant nommé et critiqué, ne cessa pas de convenir que j’avais raison ; et qui me pria d’annoncer, lorsque je la ferais imprimer, qu’il était d’accord avec moi de tout ce que je disais : il ajouta qu’il avait senti lui-même ce défaut dans le cours des représentations, et qu’il était dans le dessein de le corriger, en retranchant le personnage de Philoctète pour y substituer Créon frère de Jocaste, ainsi que Sophocle l’a placé dans son Œdipe. […] [NDA] Dissertation sur la Tragédie moderne, 1728.

47. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VI. De l’indécence du Théatre. » pp. 114-137

A l’occasion du théatre de Favard, dont il parle au long avec éloge, le Mercure d’août 1763 fait une dissertation sur l’Opéra comique & le théatre de la Foire, formé des débris de l’ancien théatre. […]  6.), qui rapporte ce fait d’après divers Auteurs qu’il cite, fait une dissertation très-peu importante pour savoir si les Anglois en sont les premiers auteurs, ou si ce fut le fameux Reuchlin ou Fumée à qui cet honneur soit dû, comme les Allemands le prétendent.

48. (1707) Lettres sur la comédie « Réponse à la Lettre de Monsieur Despreaux. » pp. 276-292

J’évite, Monsieur, autant qu’il m’est possible de faire le Prédicateur dans une Lettre qui prend toutefois assez la forme d’une Dissertation : sans cela, Monsieur, je pourrais bien vous dire avec l’enthousiasme de M.

49. (1666) Lettre à l’auteur des Hérésies Imaginaires et des deux Visionnaires « [Chapitre 2] » pp. 1-7

Que l’on regarde tout ce que vous avez fait depuis dix ans, vos Disquisitionsr, vos Dissertations, vos Réflexions, vos Considérations, vos Observations, on n’y trouvera autre chose sinon que les Propositions ne sont pas dans Jansénius.

50. (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE I. Abrégé de la Doctrine de l’Ecriture Sainte, des Conciles et des Pères de l’Eglise, touchant la Comédie. » pp. 2-17

Si je faisais une longue Dissertation, j’aurais ramassé toutes les maximes de l’Ancien et du Nouveau Testament, par lesquelles le Saint Esprit nous a donné des armes pour combattre la Comédie.

51. (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. —  HISTOIRE. DES OUVRAGES. Pour & contre les Théatres Publics. » pp. 101-566

En 1666, on vit paroître une apologie de la Comédie, sous ce titre : Dissertation sur la condamnation des Théatres. […] Cette Dissertation fut insérée dans le Mercure du mois de Février 1732. […] Il se trouve dans le second volume du Recueil de ses Dissertations. […] Voilà les Apologistes que nos Théatres peuvent avoir ; aussi cet Abbé Terrasson en a-t-il fait l’éloge dans les mêmes Dissertations. […] Dissertation sur les Spectacles, par M.

52. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre I.  » pp. 3-35

Elles sont les vraies Philosophes ; elles ont toutes les vertus du sage, la bienfaisance, l’humanité, le zele pour la population, l’horreur du vœu de chasteté, la vanité, la hauteur, l’indifference pour la religion, le mépris des bonnes mœurs ; & elles ont appris quelques termes de Philosophie dans plusieurs pieces modernes, & dans les conversations de leurs amans ; elles repeteront leur rôle dans leurs dissertations philosophiques. […] Qu’on n’attende pas de lui des dissertations sur ces trois arts, ni même les termes de l’art, qui vrai-semblablement lui sont aussi peu familiers que les langues vivantes, qu’il substitue au Grec & au Latin.

53. (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Seconde lettre contre les spectacles. » pp. 60-145

Mr Simonet, dans sa dissertation sur la Comédie, en 1732, dit, « que notre Théatre, tout épuré, qu’on prétende qu’il soit, est très-dangéreux à fréquenter ; parce que si les piéces présentent quelque fois des leçons de vertus, on n’en rapporte cependant que les impressions du vice. » Selon Mr. […] Enfin, dit encore un Anglois de ce siécle, Auteur des dissertations sur Tacite, nous pouvons dire, que la postérité ne peut rien ajouter à notre dissolution : ce qu’elle peut faire de pis, est de nous imiter. […] Notre Théatre, tout épuré qu’on prétende qu’il soit, est très-dangéreux à fréquenter ; dit Mr. de Simonet, dans sa dissertation sur la Comédie. […] Or, dit Mr. le Batteux, dans une dissertation favante, qui occupa l’Académie en 1770, est-il utile, en bonne morale, d’enflammer ainsi des passions par amusement, & d’arroser des plantes, qu’il faudroit laisser sécher ?

54. (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre premier. Du Theatre. » pp. 73-99

Mais comme ce seroit exceder l’abregé que ie me suis prescrit, je ne feray que renvoyer à tant d’Illustres Ecrivains qui en ont fait des Dissertations si particulieres.

55. (1541) Affaire du Parlement de Paris « Procès-verbal de l’action intentée devant le Parlement de Paris par le procureur général du Roi aux “maîtres entrepreneurs” du Mystère des Actes des Apôtres et du Mystère du Vieil Testament (8-12 décembre 1541) » pp. 80-82

Voisin, Défense du traité de Mgr le Prince de Conti touchant la comédie et les spectacles ou la réfutation d'un livre intitulé Dissertation sur la condamnation des théâtres, Paris, Coignard, 1671, p. 308-316.

56. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE V. Suite du Théatre de S. Foix. » pp. 105-139

Il termine sa dissertation par ces paroles où il y a du vrai : Elles furent abolies en 1560 par l’ordonnance d’Orléans ; leur nombre ne diminua pas, quoique leur profession ne fût plus regardée comme un état ; en leur défendant d’être nulle part, on les obligea de se répandre par-tout. […] Il fait à propos de rien une longue dissertation pour prouver qu’on ne doit faire la profession religieuse qu’à vingt-cinq ans, qu’un million six cents mille personnes s’exposent à passer leur vie dans le repentir, l’amertume, le désespoir & l’horreur d’un état si précipitamment embrasse.

57. (1765) De l’éducation civile « De l’éducation civile » pp. 76-113

On feroit peut-être moins de Dissertations pour décider si Corneille est supérieur à Racine, si la Motte avoit plus d’esprit que Rousseau, &c.

58. (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE VII. Histoire de la Poësie Dramatique moderne. » pp. 176-202

Sarasin qui dans sa longue Dissertation ne dit pas un mot de Corneille, donne à Hardi la gloire d’avoir tiré de la fange, notre Tragédie, à Mairet celle de l’avoir rendue reguliére, & à Scuderi celle de l’avoir rendue si admirable, que s’il eut vecu du tems d’Aristote, ce Philosophe eût prit sa Tragédie pour le fondement de sa Poëtique.

59. (1760) Lettre d’un curé à M. M[armontel] « letter » pp. 3-38

On ne peut pas être plus contraire à ce que vous avancez, Monsieur, sur le même Molière dans votre Dissertation.

60. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « LIVRE PREMIER. CHAPITRE I. Le Clergé peut-il aller à la Comédie ? » pp. 10-27

Que de dissertations dans les Journaux de Trévoux, les feuilles de Desfontaines, de Fréron !

61. (1666) Réponse à la lettre adressée à l'auteur des Hérésies Imaginaires « Ce I. avril 1666. » pp. 1-12

Je vois à peu près ce qu’il vous faut, et je ne m’étonne pas si les disquisitions et les dissertations vous ennuient.

62. (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver. » pp. 128-178

Martelli, Italien : c’est une étude digne d’un homme d’esprit et de goût, que de comparer à l’original Grec les imitations des deux Poètes que je viens de nommer, et d’examiner l’art avec lequel chacun d’eux a tourné, selon son génie, la Tragédie d’Euripide : pour moi j’admire également tous les deux ; car, en suivant des routes très différentes, chacun d’eux a réussi parfaitement, et a trouvé moyen d’ajouter des beautés nouvelles à l’original Grec : cet examen et les remarques qu’il ferait naître fourniraient aisément matière à une dissertation très curieuse, et surtout utile pour les Poètes ; mais je reviens à mon sujet.

63. (1759) Remarques sur le Discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie « Remarques sur le discours qui a pour titre : De l’Imitation par rapport à la Tragédie. » pp. 350-387

L’Auteur y établit d’abord cette Proposition générale qui est le fondement de toute sa Dissertation, qu’il n’y a rien qui plaise tant ni si généralement à tous les hommes, que l’Imitation. […] Mais je ne sçai si dans cette vûe même, il n’y auroit pas plusieurs choses qu’il pourroit développer, ou même ajouter pour rendre sa Dissertation plus pleine & plus parfaite.

64. (1769) Réflexions sur le théâtre, vol 8 « Réflexions sur le théâtre, vol 8 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE HUITIEME. — CHAPITRE VIII. Sentiment de S. Thomas. » pp. 178-198

Ce grand Théologien & habile Prédicateur fit deux fort bons traités, l’un Latin, l’autre Italien, contre le théatre, & une dissertation contre les Ecclésiastiques qui se masquent : abus assez rare en France, où l’on ne voit capables de ces folies que quelque Abbé petit-maître, dont la conduite mondaine déshonore la sainteté de son état.

65. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE V. Des Jésuites. » pp. 108-127

Le Journal de Trévoux a plus de trois cents articles d'extraits, de critiques, de dissertations théâtrales.

66. (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  TABLE. DES MATIERES. Et des Personnes dont il est parlé dans les deux Volumes. » pp. 567-614

Sur les différentes Comédies de Rome, b, 31 Discours sur la Comédie, b, 148 Dissertation sur la condamnation des Théatres, &c. b, 114 Dissertation sur la Comédie, par M.

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