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564. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VIII. De la Comédie les jours de fête. » pp. 159-179

les uns sacrifient avec zèle le plaisir du spectacle, pour assister au service divin ; les autres ne trouvent pas un moment pour entendre la messe ou le sermon, et passent trois ou quatre heures à la comédie, ou peut-être après avoir fait de la messe un spectacle profane, où ils ne sont allés que pour voir et pour être vus, ils passeront de l’Eglise au théâtre, comme on passe des coulisses sur la scène. […] On trouve de pareilles défenses dans le Concile 3. de Milan, titre des Fêtes, dans le Concile 3. de Tolède, can. 23. etc. […] j’y trouve le vice de votre propre volonté, qui les dépare.

565. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre IV. Il faut que le nouveau Théâtre se fonde sur la Vérité & sur la Nature. » pp. 133-138

Soyons en certains, le grand amour que nous avons pour ce Spectacle vient encore une fois, de ce que nous y trouvons presque toujours la peinture frappante des mœurs du Peuple.

566. (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE VI. Les obstacles qu’on peut rencontrer pour parvenir à la Réformation du Théâtre. » pp. 59-68

Les Comédiens de profession ne s’aviseront pas d’en faire l’épreuve ; et, s’il s’en trouvait qui y pensassent sérieusement et qui voulussent l’exécuter, ils verraient bientôt leur Théâtre désert ; et, à l’exception d’un petit nombre de personnes sages et raisonnables, tout le monde se moquerait d’eux et les abandonnerait : la misère suivrait de près leur entreprise ; et, s’ils n’avaient pas la constance de la souffrir patiemment, ces mêmes Comédiens, si bien intentionnés, se trouveraient réduits à la nécessité de revenir à leur ancienne méthode, et peut-être avec plus de licence et de désordre qu’auparavant, pour se dédommager du tort qu’ils se seraient fait à eux-mêmes par leur sagesse, et par leur retenue.

567. (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — CONCLUSION, de l’Ouvrage. » pp. 319-328

Si nous étions dans l’obscurité sur cet article, et qu’il prit envie à quelqu’un de soutenir que le Théâtre, dans ses commencements, a été tel que nous le voyons dans les deux Poètes qui viennent d’être nommés ; tout le monde se révolterait contre un sentiment si contraire à l’expérience, qui nous apprend que le pathétique et le sublime, tels qu’on les trouve dans Sophocle et dans Euripide, ne peuvent être des coups d’essai de l’esprit humain.

568. (1686) La Comédie défendue aux chrétiens pour diverses raisons [Traité des jeux et des divertissemens] « Chapitre XXV » pp. 299-346

Nous sommes si éloignez de pouvoir vivre sans plaisir, que même nous devons trouver du plaisir dans la mort. […] Or nous devons trouver nos delices dans l’accomplissement de nos desirsa Vous voulez passer toute vôtre vie dans les délices ? […] Parce que le troisiéme Concile de Tours en la même annéeb, veut que les Ecclesiastiques s’abstennent de tout ce qui peut charmer les oreilles & les yeux, & amollir l’esprit, à cause que les oreilles & les yeux sont les portes par lesquelles les pechez trouvent aisément entrée dans l’esprit : Ab omnibus quæcumque ad aurium & ad oculorum pertinent illecebras, unde vigor animi emolliri posse credatur, Dei Sacerdotes abstinere debent, quia per aurium, oculorumque illecebras vitiorum surba ad animum ingredi solet. […] On ne doit pas trouver étrange que les farces, les boufonneries, les marionnettes, & tous les vains amusemens de cette nature, soient interdits aux veritables Fidéles qui sont profession de la Religion Catholique, puisqu’ils le sont même aux heretiques que nous appellons Pretendus Reformez. […] « Défendons (dit-il) à toutes personnes de quelque état qu’ils soient, d’aller par Villes, Citez, Forêts, Bois, Bourgs & chemins armez de harnois secrets, ou apparens, seuls ni en compagnie, masquez, ne déguisez, sous quelque cause que ce soit, sur peine de confiscation de corps & de biens, sans aucune exception de personnes. » « Défendons à toutes personnes de recevoir, logerc, ne receler telle maniere de gens, soit par forme de logis & hosteleries, en leurs maisons privées, sur les autres peines : ainsi nous le viennent dire, ou à nos Lieutenans, Gouverneurs, Justiciers & Officiers plus prochains des lieux, où ils auront été trouvez, sur peine d’être dits complices & fauteurs & punis de pareille peine. » « Voulons que la moitié des confiscations soit donnée aux dénonciateursd sans autre declaration ne don adjugée. » « Donnons pouvoir à tous ceux qui trouverront tels personnages armez & déguisez, les prendre, arrêter & saisir au corps ; & s’ils se mettent en défense, assembler par tocquesin ou autrement les Peuples & Communautez, & leur courir fus en maniere qu’ils puissent être puns & apprehendez, & mis prisonniers en justice. » « Et si par leur rebellion, défensea, desobéïssance, aucuns étoient à la caption tuez & occic, voulons que de ce ne soit aucune chose improperée à ceux qui auront ce fait, ne qu’ils encourent aucune peine corporelle ou pecuniaire, d’obtenir grace, remission ou pardon consequemment reprins ni aprehendez en Justice. » « Défendons (dit Charles IX. dans une Ordonnance du 5. 

569. (1574) Second livre. Seconde épître. Cécile Cyprien à Donat [extrait] « letter » pp. 40-41

Outre plus si tu veux détourner ta vue pour contempler les villes et cités, tu les trouveras bien peuplées, mais c’est chose plus triste, que si elles étaient désertes.

570. (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre IX. Les spectacles nuisent au bonheur et à la stabilité des gouvernements. » pp. 96-101

Mais après qu’ils eurent vaincu les Carthaginois et qu’ils se furent enrichis des dépouilles de la Grèce, ils vécurent dans le luxe ; ils perdirent également le courage de l’âme et la force du corps, ils se divisèrent bientôt en différentes parties pour trouver de quoi contenter leurs passions.

571. (1825) De quelques naïves coutumes « De quelques naïves coutumes. » pp. 262-266

» Peu de générations, moins de deux cents ans se sont écoulés depuis la rédaction d’un contrat de mariage, trouvé en original chez le curé de saint Donatien à Orléans.

572. (1590) De l’institution de la république « SIXIEME TITRE. Des Poètes, et de leurs vertus, item quels Poètes on peut lire et quels on doit rejeter des Théâtres. » pp. 117-127

Toutefois quant à moy, je ne trouve point que cette raison soit suffisante de ce qu’ils ont par la raillerie de leurs fables méprisé les sottes opinions qu’avaient les Païens touchant les dieux, et touchant leurs vaines et folles superstitions. […] Toutefois Diodore affirme, qu’il fut caché, et non dévoré, et que depuis il fut trouvé de sa femme Isis, et inhumé en un sépulcre magnifique, avec force senteurs et odeurs, Typhon ayant été saccagé, et tous ses complices coupables du meurtre, sans qu’aucun d’eux échappât. […] il trouva un coffret enrichi d’or, de perles, et d’autres pierreries : et comme ses familiers lui eussent montré, qu’il s’en pourrait servir à plusieurs choses : Non, non, répondit-il, il faut qu’il serve pour garder les livres d’Homère : car il est bien raisonnable, que le plus précieux et le plus excellent ouvrage d’un esprit humain, soit gardé dedans le plus précieux ouvrage qui soit.

573. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — [Introduction] » pp. 2-6

Ce n’est pas la premiere fois que Thalie a mis son favori sur ses treteaux ; on fit l’Ombre de Moliere d’abord après sa mort ; on la trouve à la fin de ses ouvrages, avec ses Epitaphes en grand nombre, quoiqu’il n’ait pas même eu de tombeau.

574. (1754) La Comédie contraire aux principes de la morale chrétienne « MANDEMENT  du Chapitre d’Auxerre, Touchant la Comédie. » pp. 51-58

Il répondit hardiment : J’ai eu raison, je l’ai trouvée chez moi.

575. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre prémier. De la Comédie-Bourgeoise, ou Comique-Larmoyant. » pp. 6-13

M. de Voltaire n’a composé que peu de Comédies, & l’on y trouve le triste & le sérieux : ai-je besoin de citer l’Enfant prodigue, l’Ecossaise ?

576. (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XI. Qu’on ne peut danser sans péché les jours qui sont particulièrement destinés à l’exercice de la piété Chrétienne. » pp. 41-53

Et quand bien en ces jours consacrés à la gloire de Dieu, on ne danserait qu’en secret, on ne serait pas exempt de péché ; Car encore que le scandale ne s’y trouve pas, on s’oppose manifestement, non seulement à l’ordre ; mais à l’esprit de l’Eglise, qui est celui de Dieu même ; puisqu’on perd par des actions séculières, le temps qu’elle avait marqué pour la mortification, et pour les autres exercices spirituels nécessaires à la sanctification des âmes.

577. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « IV. S’il est vrai que la représentation des passions agréables ne les excite que par accident.  » pp. 10-18

On se voit soi-même, dans ceux qui nous paraissent comme transportés par de semblables objets : on devient bientôt un acteur secret dans la tragédie ; on y joue sa propre passion, et la fiction au dehors est froide et sans agrément, si elle ne trouve au-dedans une vérité qui lui réponde.

578. (1668) Les Comédies et les Tragédies corrompent les mœurs bien loin de les réformer. La représentation qu’on fait des Comédies et des Tragédies sur les Théâtres publics en augmente le danger. On ne peut assister au spectacle sans péril « Chapitre XI. La représentation qu’on fait des Comédies et des Tragédies sur les Théâtres publics, en augmente le danger. L’on ne peut assister aux spectacles sans péril. » pp. 191-200

Or on ne va pas à la Comédie pour la censurer, et quand on y est, il est difficile que l’on ne s’y laisse surprendre par le plaisir que l’on y trouve, sous lequel les vices se glissent dans notre cœur. « Tunc enim per voluptatem facilius vitia surrepunt.

579. (1694) La conduite du vrai chrétien « ARTICLE VI. » pp. 456-466

 : « Pour bien faire connaître, dit-il, qu’est-ce que le théâtre, et en déclarer l’essence, on peut dire que c’est le temple de Vénus, où la volupté est traitée, estimée, honorée et adorée comme une divinité ; c’est la citadelle ou le fort où toutes sortes d’impuretés se pratiquent avec toute licence et effronterie » : ensuite de quoi il rapporte un exemple d’une femme chrétienne, dans le corps de laquelle le diable entra, pendant qu’elle assistait aux spectacles : car comme on faisait les exorcismes pour chasser cet hôte cruel, le chargeant de malédiction de ce qu’il avait été si cruel, que d’entreprendre sur une personne fidèle, il répondit toujours, ‘Dieu l’a ainsi permis, pour rendre témoignage de l’abomination de ces lieux infâmes, et quand j’en ai ainsi usé, ça a été avec justice, l’ayant trouvée sur ma terre, et dans un lieu où je suis le Seigneur et le maître’.

580. (1742) VIII. Conférence. De la Comédie, contraire aux promesses du Batême [Conférences théologiques et morales, IV] « X. Conference sur les sacremens. » pp. 223-247

Si vous êtes morts au péché, comme vous devez l’être, fuyez donc ces assemblées des pécheurs, où l’on en trouve tant d’occasions funestes : si vous ne vivez plus que pour Dieu, comme il est de votre intérêt autant que de votre devoir, éloignez-vous donc pour toujours de ces lieux de dissolution, où l’on apprend à se corrompte, & où ne se trouve jamais l’Esprit de Dieu. […] Si un simple regard jetté par hazard sur une personne qui se présente & qu’on ne cherche pas, peut produire des effets si dangereux, dans les lieux mêmes les plus saints ; que ne feront pas des regards passionnés dans ces lieux d’une licence effrénée, où l’effronterie est comme de saison, & où l’on ne va que dans le dessein prémédité d’y trouver les objets les plus séduisant ? […] C’est vous seule qui méritez leur attention la plus sérieuse ; puisqu’en vous méditant, nous trouvons en vous des leçons admirables de toutes les vertus.

581. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre VII. Troisieme suite du Fard. » pp. 171-194

Il ne fait pas plus de grace aux précieuses de la parure & du fard, il en trace une peinture burlesque, sous le nom d’un Gorgibus, nom bas & de pur tabarinage ; c’est un bon homme, pere d’une des précieuses, oncle de l’autre, qui choqué de leurs manieres, fait aussi le portrait de leur toilette, qu’elles trouvent fort mauvais : elles font de la pommade pour les levres , dit la servante, c’est trop pomader , répond Gorgibus, ces pendardes-là avec leur pommade, ont envie de me ruiner, je ne vois par-tout que blanc d’œuf, lait virginal, & mille autres brimborions que je ne connois point ; elles ont usé le lard d’une douzaine de cochons, pour le moins, & quatre valets vivroient tous les jours des pieds de moutons qu’elles employent. […] L’auteur pour former trois volumes, qui, réduits à leur juste valeur, en formeroient à peine un bon, a ramasse tous les noms des femmes qu’il a trouvé dans les livres, & en a fait autant d’articles, dont les trois quarts n’étoient connus que dans leur quartier. […] Le dernier plus raisonnable, fait un mérite à Hortense, de n’en avoir pas besoin pour lui trouver quelque défaut, je vais la voir dans sa chambre, au milieu de ses chiens, de ses guenons, de ses oiseaux.

582. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre II. Du Philosophe de sans souci. » pp. 36-60

Dans leurs vastes Palais on chercheroit un jour Avant que de trouver le Prince avec sa Cour. […] De Lisbonne à Fekin, d’Archangel à Memphis, Rassemblons tous les temps, voyons tous les pays, S’en trouve-t-il un seul, je consens qu’on le nomme, Dont le culte insensé n’ait pas dégradé l’homme. […] En réunissant tous les temps & tous les pays, on trouve J. 

583. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre III. Recherches nécessaires pour s’éclaircir si les Anciens ont connus l’Opéra-Bouffon. » pp. 101-108

Je suis ravi de leur apprendre qu’ils n’ont point encore tout vu dans des Ouvrages où ils s’éfforcent de trouver tant de choses.

584. (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE V. De la protection spéciale sanctionnée par le Pape, accordée aux Comédiens du troisième âge, par l’autorité spirituelle, et par l’autorité temporelle. » pp. 120-129

Or, on trouve ici la preuve, s’il était nécessaire, qu’il y avait des prêtres comédiens, et de l’autre, que les pèlerins et les confrères de la Passion, malgré les abus qu’ils introduisirent dans leurs comédies, ne pouvaient pas être excommuniés ; en effet, ils étaient trop bien protégés par le clergé lui-même : mais d’un autre côté, ils devaient être réformés et régularisés dans leur conduite, et c’est ce qui a été effectivement opéré par les gouvernements et sanctionné par le pape.

585. (1668) Idée des spectacles anciens et nouveaux « Idée des spectacles anciens et nouveavx. — Des anciens Spectacles. Livre premier. — Chapitre premier. Du Theatre. » pp. 73-99

Mummius apres avoir détruit Corinthe, remporta à Rome les Vases d’un celebre Theatre, qu’il avoit trouvé dans cette mal-heureuse Ville, & qu’aux Ieux qui se donnerent à son Triomphe, on en fit parade & on s’en servir sur le Theatre. […] Il y avoit en ce temps des prodigues & des menagers ; il s’y trouva des Pieces heureuses qui engagerent à la dépense, & d’autres, qui quoy qu’avec un pareil merite furent recitées sans ces extraordinaires ornemens de Musique & de Symphonie, & où l’on se contenta d’un seul Instrument.

586. (1541) Affaire du Parlement de Paris « Procès-verbal de l’action intentée devant le Parlement de Paris par le procureur général du Roi aux “maîtres entrepreneurs” du Mystère des Actes des Apôtres et du Mystère du Vieil Testament (8-12 décembre 1541) » pp. 80-82

Et parce qu’il s’est trouvé qu’ils y ont fait gros gain, sont venus aucuns particuliers, gens non lettrés ni entendus en tels affairesu et gens de condition infime, comme un menuisier, un sergent à verge, un tapissierv et autres semblables, qui ont fait jouer les Actes des Apôtres, en iceux commis plusieurs fautes tant ès feintes qu’au jeuw. […] Car ne s’est point trouvé qu’il y ait eu de scandales ni mauvaises assemblées aux Mystères de la Passion et Actes des Apôtres.

587. (1687) Avis aux RR. PP. jésuites « X. » pp. 47-54

Abelly, parce que ce vous sera un grand avantage de ce qu’on y trouve trois des plus méchants de vos principes généraux.

588. (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XIII. Que les lois civiles défendent de danser, et d’aller à la Comédie les jours des Fêtes. » pp. 67-75

C’est pourquoi s’il s’en trouve parmi eux quelques-uns qui suivent encore la folie des Juifs, ou qui imitent l’erreur et l’extravagance des Païens, par les danses et par d’autres divertissements indignes ; qu’ils apprennent que c’est abuser d’un temps, qui est tout consacré à la prière, que de l’employer à la recherche de son plaisir ; et que c’est irriter Dieu, que de s’occuper à des exercices qui ne servent qu’à la satisfaction des sens ; lorsqu’on devrait être prosterné devant sa majesté, pour l’adorer, et pour invoquer sa miséricorde.

589. (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XIII. L’Opéra est le plus dangereux de tous les spectacles. » pp. 111-117

« On n’avait point, dit Jean-Jacques Rousseau, trouvé de moyen plus efficace pour graver dans l’esprit des hommes les principes de la morale et de l’amour de la vertu.

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