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276. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE IV. Apologie des Dames. » pp. 119-155

C’est ce qu’il n’a pas dit : au contraire, il trouve mauvais que vous donniez tant d’appas à cette vertu ; ce n’est pas là selon lui le moyen de la faire aimer : ce n’est pas, à son avis, savoir faire une Pièce que d’y proposer à détester un scélérat, que d’y faire rire aux dépens d’un vicieux ou d’un ridicule, que d’y proposer à imiter un homme d’une vertu extraordinaire : notre bilieux Genevois ne veut pas vous permettre de peindre les miracles de la nature, ni le triomphe de la raison, il veut au contraire que l’un et l’autre soient renfermés dans les bornes étroites où l’extravagance des hommes et leurs passions les resserrent ordinairement. […] Le Tyran est obligé de dissimuler le dépit que ce fidèle sujet lui inspire par ses reproches : le sujet de la Pièce est la fable de Philomène, et Mme de Tagliazucchi y traite la terreur à la Crébillon. Il m’est impossible de rendre toute l’énergie de son style, et je vous avoue que le mérite de sa Poésie m’oppose tant de difficultés, que j’ai cru devoir choisir non pas une des plus fortes scènes de sa Pièce, mais celle qui m’a paru la plus facile à traduire. […] Ceux qui n’y viennent que pour s’y faire voir, que pour y trouver des rendez-vous, que pour donner à l’Assemblée l’attention qu’ils devraient à la Pièce, ceux-là porteraient les mêmes intentions à l’Eglise ; ce n’est donc pas pour eux que le Théâtre est fait, et la scène n’est pas plus responsable que le Temple des abus qui s’y commettent.

277. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV. Christine de Suede. » pp. 111-153

Gilbert résident de Suède ne manqua pas de s’y trouver ; il faisoit des vers, & pour faire sa Cour à son ancienne maîtresse, il y lut une comédie de sa composition qu’il savoit être de son goût, parce que la pièce étoit fort licencieuse. […] L’Abbé Menage moins scrupuleux loua la pièce ; sans restriction : Je suis bien aise , dit Christine, que ce soit de votre goût, on peut s’en rapporter à vous, pour votre Monsieur Chapellain que c’est un pauvre homme, il voudroit que tout fut pucelle. […] Quelqu’un dit que quand Charles IX venoit chez Ronsard aux assemblées des gens de lettres, tout le monde étoit assis ; la question fut décidée, & sans demander permission on s’assit, dès que la Reine fut assise on lui fit des complimens sans nombre, on lui récita des vers, on lut quelque pièce. […] On trouvera cette pièce & bien d’autres dans les œuvres de Ménage, en particulier dans son Histoire Latine & Italienne des femmes philosophes. […] Elle fut très-peu reconnoissante pour ses Apôtres, car elle a toujours paru mécontente des Jésuites, se moquant d’eux, de leurs pièces de théatre, les méprisant, en disant volontiers du mal ; il est vrai qu’elle en disoit de tout le monde, & méprisoit tout le monde, elle étoit fort caustique, elle se plaignoit de leur général qui avoit manqué à lui rendre quelque visite.

278. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXXI. Réflexions sur la vertu qu’Aristote et Saint Thomas après lui ont appelée Eutrapelia. Aristote est combattu par Saint Chrysostome sur un passage de Saint Paul. » pp. 117-123

Cette discussion ne nous sera pas inutile, puisqu’elle nous fournira des principes pour juger des pièces comiques, et en général de tous les discours qui font rire.

279. (1825) De quelques naïves coutumes « De quelques naïves coutumes. » pp. 262-266

 » La pièce porte que cet accord a été ratifié par la Très Sainte Trinité.

280. (1690) Entretien sur ce qui forme l’honnête homme et le vrai savant « VII. ENTRETIEN. » pp. 193-227

Vous auriez bien de la peine à persuader cela à la plupart de nos Orateurs : ils courent après toutes les pièces d’éloquence, et ne travaillent qu’à les imiter, sans penser seulement à ce que vous appelez des traces accessoires. […] Qu’espèrent-ils répondre au Jugement de Dieu quand il leur sera reproché que pour quelques morceaux de terre blanche et bleue, et quelques pièces de vieux métal ils ont négligé les lois de la charité Chrétienne ?

281. (1684) Epître sur la condemnation du théâtre pp. 3-8

[NDE] : Le père François Caffaro, « Théatin », auteur de la « Lettre d’un théologien, illustre par sa qualité et son mérite, consulté par l’auteur pour savoir si la Comédie peut être permise, ou doit être absolument défendu » (dans Pièces de théâtre de Boursault, Paris : Jean Guignard, 1694, p. 1-75.)

282. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « IV. S’il est vrai que la représentation des passions agréables ne les excite que par accident.  » pp. 10-18

 : mais au contraire, il n’y a rien de plus direct, de plus essentiel, de plus naturel à ces pièces, que ce qui fait le dessein formel de ceux qui les composent, de ceux qui les récitent, et de ceux qui les écoutent.

283. (1695) Preface [Judith, tragedie] pp. -

Mais je ne saurais me taire sur l’étrange critique qui s’est répandue contre les pièces saintes.

284. (1733) Dictionnaire des cas de conscience « Comédie. » pp. 765766-806

Décembre 1541. qui défendit aux Maîtres de la Confrérie de la Passion établie à l’Hôtel de Bourgogne, de jouer leurs Pièces, quoique saintes, jusqu’à ce que le Roi en eût autrement ordonné : Il est à propos de rapporter ici quel fut l’origine de la Comédie en France. […] Des Auteurs qui composent les Pièces pour le Théâtre, et généralement de tous ceux qui coopèrent à la Comédie ? […] célèbre Casuiste appelle vaines et divertissantes ; plusieurs Pièces des Comédiens Français sont de même : ainsi tout au plus on pourrait s’abstenir d’aller à celles qui représentent beaucoup de passions, et des choses fort impures, multum turpia, comme disent Saint Antonin S. […] défendit aux Maîtres de la Confrérie de la Passion établie à l’Hôtel de Bourgogne, de jouer leurs pièces quoique saintes, jusqu’à ce que Sa Majesté en eût ordonné autrement. […] Que s’il n’y a rien de trop libre dans le corps de la Pièce, il y a des farces à la fin qui ne sont jamais bien pures.

285. (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12

Et pourquoi n’avez-vous pu souffrir que l’Auteur des lettres ait dit, en passant, que les pièces de Théâtre sont « horribles, étant considérés selon les principes de la Religion Chrétienne et les règles de l’Évangile g» ? […] [NDE] Comme le signale Laurent Thirouin dans son édition (dans Traité de la Comédie et autres pièces d’un procès du théâtre, Honoré Champion, 1998), on trouve cette idée chez Saint Augustin, Confessions, livre III chap.2 : « […] et si calamitates illæ hominum vel antiquæ vel falsæ sic agantur, ut qui spectat non doleat, abscedit inde fastidiens et reprehendens » g. [NDE] Goibaud du Bois cite une nouvelle fois Nicole, mais décale la portée du jugement : dans la première des Visionnaires (Les Visionnaires, ou seconde partie des lettres sur l’Hérésie Imaginaire, contenant les huit dernières, Liège : Adolphe Beyers, 1667) ces mots s’appliquaient non aux pièces de théâtre elles-mêmes, mais aux qualités qui leur sont généralement attribuées : « Ces qualités qui ne sont pas fort honorables au jugement des honnêtes gens, sont horribles, étant considérées selon les principes de la religion chrétienne, et les règles de l’Évangile. » h.

286. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE V. Des Comédiens. » pp. 156-210

Quoique munis d’engagements réciproques, les contractants de part et d’autre se disputent à qui en infirmera les clauses ; de là le désordre dans les dispositions des Pièces, les difficultés suggérées par la jalousie, la malice, ou l’intérêt, disputes de rôles, prétentions, etc. […] Ce Répertoire général est divisé par colonnes, avec ces titres : l. noms des Personnages de la Pièce, 2. qualité des rôles, 3. noms des Acteurs qui doivent les représenter, 4. noms des Acteurs qui les doivent représenter en cas de nécessité. […] La distinction accordée aux Atellanes, prouve toujours que les lois ne s’élevaient pas contre les spectacles comme mauvais en eux-mêmes, ni contre des Acteurs honnêtes gens, et des Pièces où les mœurs étaient respectées. […] » Si la Pièce ou l’Acteur les ennuie, ils se contentent de bailler et s’en vont. […] François Caffaro (ca 1650-1720), Lettre d’un théologien illustre par sa qualité et son mérite consulté par l’auteur pour savoir si la Comédie peut être permise, ou doit être absolument défendue, in Pièces de théâtre de Boursault, Paris, Jean Guignard, 1694.

287. (1705) Traité de la police « Chapitre II. De l’origine des Histrions, des Troubadours, des Jongleurs, et des autres petits spectacles qui ont précédé en France l’établissement des grandes pièces de Théâtre, et des Règlements qui les ont disciplinés. » p. 436

De l’origine des Histrions, des Troubadours, des Jongleurs, et des autres petits spectacles qui ont précédé en France l’établissement des grandes pièces de Théâtre, et des Règlements qui les ont disciplinés.

288. (1661) Le monarque ou les devoirs du souverain « SEPTIEME DISCOURS. De la Magnificence des Princes dans les Habits, dans les Festins et dans les Spectacles publics. » pp. 202-209

C’est de quoi je ne tombe pas d’accord, et pour produire la pièce qui a reçu le plus de louanges et qui a été l’admiration de toute la France ; N’est-il pas vrai que Chimène exprime mieux son amour que sa piété, que son inclination est plus éloquente que sa raison, qu’elle excuse mieux le parricide qu’elle ne le condamne, que sous ce désir de vengeance qu’elle découvre, on y remarque aisément une autre passion qui la retient, et qu’elle paraît incomparablement plus amoureuse qu’irritée ?

289. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre III. But que le Spectacle moderne doit se proposer. » pp. 123-132

Opéra chez les Italiens est ordinairement une pièce en Musique ; c’est aussi une Comédie composée avec soin, & apprise entierement par cœur.

290. (1694) Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie, avec une réfutation des Sentiments relachés d’un nouveau Théologien, sur le même sujet « Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie. » pp. 1-132

Secondement, des Auteurs qui composent les Pièces pour le Théâtre ; et généralement de tous ceux qui coopèrent à la Comédie. […] Ce fut pour cette raison que le Parlement de Paris, par son Arrêt du 9 Décembre 1541, défendit aux Maîtres de la Confrérie de la Passion établie à l’Hôtel de Bourgogne de jouer leurs Pièces, quoique saintes, jusqu’à ce que Sa Majesté en eût ordonné autrement. […] La seconde, quand il y aurait quelque chose de libre dans le corps de la Pièce, ou dans ce qui la finit, cela ne pourrait rendre la Comédie mauvaise, que par rapport à ceux à qui elle serait une occasion prochaine de péché, et non pas à l’égard de ceux qui vont à la Comédie, sans en recevoir aucune impression, ni sans en remporter aucune mauvaise idée, et qui par conséquent sont hors de danger de péché. […] Que s’il n y a rien de trop libre dans le corps de la Pièce, il y a des farces à la fin qui ne sont jamais bien pures. […] On répond à la seconde demande de l’exposé, que si la Comédie est mauvaise, comme on l’a prouvé, et que par cette raison tant les Acteurs que les spectateurs pèchent grièvement, quoique différemment ; tous ceux qui coopèrent à la Comédie d’une manière prochaine et déterminée, pèchent pareillement, et particulièrement ceux qui composent pour le Théâtre les Pièces que l’on y représente ordinairement, parce que leur action tend d’une manière déterminée à une chose mauvaise.

291. (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE III. Qu'une Mère est très coupable de mener sa fille aux Spectacles. Que c'est une erreur de croire que la Comédie soit destinée à corriger les mauvaises mœurs. Que rien au contraire n'est plus propre à les corrompre. » pp. 65-75

Les Pièces de Théâtre d'où cette licence est bannie, et où l'on réprésente les actions héroïques des anciens Grecs, et Romains vous paraissent-elles dangereuses ?

292. (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. -

[NDE] Pièce de Delille de Drevetière, comédie en trois actes, représentée pour la première fois par les Comédiens italiens en 1722.

293. (1640) Lettre apologétique pp. 2-42

A Nîmes, où il y a école de Théologie, pour ceux qui étudient au Ministère, il se représenta devant le Sieur d’Aubais et le Baron de la Casaigne Consuls, une excellente Tragédie des conquêtes de Pyrrus o, où les quatre principaux Ministres, à savoir le Faucher grand Controversiste, le Sieur Petit excellent en la langue Grecque, Pérol autrefois Jésuite, grand Philosophe, et le Sieur Roussel qui fut Ministre de Monseigneur de Rohan, assistaient avec quantité de leurs amis : A Montpellier pendant mes études il se fit quelques récréations entre lesquelles il se joua deux pièces, l’une tirée de Joseph, et l’autre de l’histoire de Perse, où plusieurs Ministres des lieux circonvoisins furent, et les deux Ministres de la ville, qui étaient le Faucheur à présent Pasteur en l’Eglise de Charenton et le jeune Gigort. […] Mais quant au regard des Comédiens qui n’ont point de Compétiteurs ni de personnes pour corriger la liberté de leurs pièces, ils représentent sans considération d’offenser la vertu de leurs Auditeurs ; A quoi je réplique ; qu’il n’y a point de ville bien policée, où leurs Comédies ne passent par la coupelleq des Magistrats, et où il ne leur soit défendu de n’exposer aucun sujet sur le Théâtre, qui puisse choquer l’honneur de Dieu, le service du Roi, et la réputation du prochain (Dictionnaire de l’Académie, 1694).

294. (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre XVIII. Eprouver par soi-même si les spectacles sont dangereux, c’est vouloir tomber dans les dangers qu’ils offrent. » pp. 154-163

On se plaint de ce que, par la faute de la pièce ou des acteurs, l’esprit et le cœur sont restés immobiles ; on regrette d’en sortir avec son innocence et sa tranquillité.

295. (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « PENSEES SUR LES SPECTACLES. » pp. 1-12

On se plaint de ce que par la faute de la Pièce ou des Acteurs l’esprit ou le cœur ont été laissés immobiles ; on a regret à l’innocence et à la tranquillité qu’on remporte.

296. (1647) Traité des théâtres pp. -

Ils s’abusent, attribuant le blâme que les Pères donnaient aux Théâtres, à ce que toutes les pièces qui s’y jouaient étaient ainsi horriblement dissolues. […] db qu’un faiseur de Tragédies Grec, qu’il nomme Theodotus, ayant voulu adapter quelque chose, tiré des Ecritures divines, à une pièce qu’il composait, Dieu l’en punit sur le champ, et lui ôta l’usage des yeux. […] 5. d’une composition sur quelque belle histoire, diligemment examinée par un Colloque, à toutes les pièces qu’il prendra fantaisie aux Comédiens de jouer, qui pour la plupart sont des fictions, dont le thème est un amour sale, et dont la représentation préjudicie à la Société ? […] Vincent sollicite quelque peu cet exemple : Théodore de Bèze a écrit Abraham sacrifiant en 1550 à la demande des autorités de Lausanne pour que la pièce soit représentée par les étudiants ; elle a été publiée à Genève la même année par Conrad Bade. […] Il s’agit de Francesco Patrizi qui, dans le chapitre II, 6 de son De Institutione reipublicae libri novem que Vincent invoque au chapitre XI, récuse toute idée de représentation mais admet que les gens de lettres lisent les pièces (f. 123v de la trad.

297. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE IX. Sentiments de Saint Augustin sur les Spectacles. » pp. 180-198

Lorsque après la pièce on voit cet antre profond du théâtre vomir une foule de gens perdus de vices, pleins des folies qu’ils viennent de voir, se repaissant, s’applaudissant de choses, non seulement inutiles, mais pernicieuses et empestées, qui rencontrent des serviteurs de Dieu, ils en ont pitié, et s’écrient qu’ils sont malheureux d’être privés de ces plaisirs. […] Mais ils ne pensent tous qu’à l’argent, à la volupté ; ils n’estiment les pièces qu’autant qu’elles sont lucratives, et qu’elles excitent les passions.

298. (1759) Lettre sur la comédie pp. 1-20

J’ai cru, pour l’utilité des mœurs, pouvoir sauver de cette proscription les principes & les images d’une pièce que je finissois, & je les donnerai sous une autre forme que celle du genre Dramatique : cette Comédie avoit pour objet la peinture & la critique d’un caractère plus à la mode que le Méchant même, & qui, sorti de ses bornes, devient tous les jours de plus en plus un ridicule & un vice national.

299. (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE II. De la passion d’amour sur le Théâtre. » pp. 18-35

Mais quelles sont les Pièces où l’amour soit instructif à ce point ?

300. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VIII. De la Comédie les jours de fête. » pp. 159-179

Plusieurs pièces ne sont que des fêtes, la plupart sont terminées, souvent même à chaque acte, par quelque fête, mais quelles fêtes ? […] Ainsi la composition des pièces n’est point pour l’Auteur une œuvre servile ; mais l’exécution est mécanique, aussi bien que de bâtir la muraille et de broyer les couleurs.

301. (1758) Causes de la décadence du goût sur le théatre. Seconde partie « Causes de la décadence du goût sur le théatre. — Chapitre XXII. De l’usage du Théatre relativement au Comédien. » pp. 104-121

Nous allons nous convaincre, que non-seulement les Comédiens ont pris pour des chef-d’œuvres des Pièces qui n’ont pu avoir de seconde représentation ; mais encore ont regardé, comme indignes du Théatre, celles que le bon goût a placées au rang des chef-d’œuvres. 

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