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269. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre V.  » pp. 129-160

On a d’abord dit en Latin Siffiare, son imitatif, ou les deux ff, forment un petit sifflement ; delà est venu le mot François sifflet & siffler, par corruption on a changé les deux ff en b, sibilare, sibilum, ce qui est plus doux à prononcer, & peut s’appliquer plus aisément aux différentes significations du mot siffler, au lieu que siffilare ne convient qu’à la moquerie, & forme une espece de ris en le prononçant. […] Abus des Ministres qui méritoient d’être sévérement punis ; mais il faut convenir que ces digues opposées au torrent du vice, ont été bien foibles, & n’en ont pas arrêté le rapide cours.

270. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre I.  » pp. 3-35

Cette économie convient peu à des gens qui annoncent avec tant d’éclat qu’ils ne veulent rien épargner pour mettre toute la piece sous les yeux du lecteur. […] Ce nom qui ne convient qu’à ce qui émane du Roi a quelque chose de grand.

271. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. De l’Éducation. » pp. 60-92

Or le geste & la déclamation théatrales ne conviennent ni à la chaire, ni au barreau, ni à la société, ni aux assemblées, ni à la Cour, ni à la guerre ; on se rendroit ridicule, si on y paroissoit, y parloit, y gesticuloit comme un Acteur sur la scene. […] Tous les honnêtes gens de Rome s’en plaignirent : Nous n’avons que trop de spectacles qui corrompent les mœurs , disoient-ils, on augmente le mal, en faisant faire à des enfans de qualité ce qui ne se faisoit que par des esclaves, & qui ne convient qu’a des Comédiens  : Abolitos paulatim patrios mores funditus everti per ascitam lasciviam, ut quod usquam corrumpere queat, in urbe visatur degeneretque juventus, gimnasia, & otia, & turpes amores exercendos numquam honesto loco natum ad theatrales artes degeneravisse.

272. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE V. De la Parure. » pp. 107-137

Quand on lui présenta la toilette, la garderobe, les innombrables bijoux & colifichets du Duc de Joyeuse, qui venoit de périr à la bataille de Coutras, à peine daigna-t-il les regarder, & dit avec dédain : Il ne convient qu’à des Comédiens de tirer vanité de ces miseres ; le véritable ornement d’un Général est le courage, la présence d’esprit dans l’action, & la clémence après la victoire. […] Il faut convenir que le démon a bien ses martyrs.

273. (1731) Discours sur la comédie « SECOND DISCOURS » pp. 33-303

Horace nous a déjà dit que le Chœur doit être également réservé dans la Comédie et dans la Tragédie, et qu’il doit parfaitement convenir à toute la pièce. […]  » : « qu’on n’entende jamais parmi vous des paroles déshonnêtes, ni de bouffonneries, ce qui ne convient pas à votre vocation ; mais plutôt des paroles d’actions de grâces. […] Quand même ces choses ne seraient point consacrées aux Idoles, il ne serait pas néanmoins permis aux Fidèles d’en être les Auteurs, ni les spectateurs ; et quelques innocentes qu’elles fussent, elles emporteraient du moins avec elles une vanité, qui ne convient point aux Chrétiens.  […] La seconde, qu’il n’interrompe pas l’harmonie ou la suite des bonnes œuvres : et la troisième, qu’il convienne au lieu, au temps et aux personnes. […] Il convient cependant que celui qui demandait les applaudissements du peuple à la fin d’une Comédie était quelquefois un Musicien.

274. (1733) Dictionnaire des cas de conscience « Comédie. » pp. 765766-806

Il n’est pas nécessaire que les choses que l’on compare conviennent en tout, il suffit qu’elles conviennent en quelque point : ces choses conviennent en ce que, comme le désir déréglé de l’or et de l’argent est mauvais, de même le plaisir que l’on prend à la Comédie est mauvais. […] des Saints Pères : ces termes ne conviennent point à des exagérations ni à des figures de Rhétorique, ils signifient quelque chose de plus ; il n’aurait point ensuite marqué à chaque Prédicateur, de faire voir au peuple les grands maux dont les Comédiens sont cause. « Le Ibid.

275. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Procès des Comédiens. » pp. 169-224

Ce refus a réveillé l’attention du public, qui convient qu’elles n’ont pas tort. […] Les Comédiens seront tenus de jouer les pieces reçues dans le temps convenus & de remplir exactement les engagemens pris avec les Auteurs, sous peine de 300 liv. d’amande , art. 55. […] La Comédie n’est pas un simple amusement ; ce n’est pas uniquement une ressource ménagée à l’oisiveté des grandes villes, c’est un des moyens les plus efficaces pour diriger les opinions, pour ébranler la masse des esprits, pour leur donner la direction qui convient aux vues du ministere.

276. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE V. Du Mensonge. » pp. 100-113

Il n’est pas surprenant que Corneille, en bon Normand, ait fait l’éloge du mensonge, du moins est-il sincère dans l’aveu du mauvais effet que produit cette piece, & convient fort naïvement que la comédie, faite pour plaire, n’a pas ce mélange d’utilité pour les mœurs ; elle viole la maxime touchant la récompense des bonnes actions & la punition des mauvaises.

277. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre prémier. De l’éxcellence du nouveau Théâtre. » pp. 68-93

« Grégoire VII, dit-il avec enthousiasme, n’a rien fait de mieux qu’un Opéra8. » Il est clair que cet Auteur immortel avait sur-tout une forte estime pour le genre bouffon, puisqu’il s’exprime ainsi ; « Je voudrais que Newton eut fait des Vaudevilles, je l’en estimerais d’avantage9. » Convenons que tout autorise le prodigieux succès du nouveau Spectacle.

278. (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XI. De l’excommunication considérée comme injuste et par conséquent nulle, de la part des prêtres qui anathématisent les Comédiens, morts sans les secours spirituels de l’Eglise. » pp. 186-211

Ce crime consiste à être convenu du mérite incontestable et de la rare habileté de raisonnement de M.

279. (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre IV. Les spectacles inspirent l’amour profane. » pp. 32-50

« Convenons, si l’on veut, que le spectacle ne produit pas ces pernicieux effets tout à coup, mais il les prépare ; il ne porte pas sur-le-champ des défaites et des chutes, mais il met dans le cœur la disposition secrète qui en sera un jour la trop funeste cause.

280. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre IV. Le Peuple doit-il aller à la Comédie ? » pp. 60-74

Je conviens en effet que si la diminution, le dégoût, le mépris de la chasteté, le goût, l’impression du vice, le moyen de tromper les surveillants, de faire réussir une intrigue, de satisfaire ses passions, sont les fruits qu’on se propose de tirer du théâtre, on a parfaitement réussi.

281. (1666) De l’éducation chrétienne des enfants « V. AVIS. Touchant les Comédies. » pp. 203-229

Et leurs yeux et leurs oreilles doivent-elles être moins chastes que leurs langues, auxquelles il n’est pas permis de proférer aucune parole vaine et qui ne convienne point, comme dit S.

282. (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE III. L’Esprit de Moliere. » pp. 72-106

L’Auteur de sa vie en convient, & nous apprend que quoiqu’il eût 30000 livres de rente, ce qui alors en valoit plus de 60000, il n’avoit qu’une servante. […] Il convient que les Censeurs n’approuveroient pas la plûpart de ses pieces, comme étant très-dangereuses.

283. (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  CHAPITRE X. Des six parties de la Tragédie, suivant Aristote. Examen de ces six parties dans Athalie. » pp. 260-315

Ce sont ces cris, ces αῖ, αῖ des Anciens qui conviennent à la douleur : mais lorsqu’Admette qui est tombé évanoui, revient de son évanouissement pour chanter, Croyez-vous que je puisse vivre ? […] Il ne falloit pas frapper un grand coup pour l’abattre, la nôtre a su résister au même coup, nous avons su conserver notre raison pour goûter la Tragédie, & nous sommes comme convenus que quand nous irions à l’Opera abandonner nos sens aux charmes de l’harmonie, nous laisserions notre Raison à la porte ; par conséquent ce Spectacle quand il est long ennuie, parce que, suivant Saint Evremond, où l’esprit a si peu à faire, c’est une nécessité que les sens viennent à languir : c’est en vain que l’oreille est flattée, & que les yeux sont charmés, si l’esprit n’est pas satisfait.

284. (1702) Lettre de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour. Lettre de Lettres curieuses de littérature et de morale « LETTRE. de M. l’Abbé de Bellegarde, à une Dame de la Cour, qui lui avait demandé quelques réflexions sur les pièces de Théâtre. » pp. 312-410

Des sentiments si lâches, et ces alarmes continuelles ne conviennent guère à un Héros, que les Dieux avaient destiné pour être le Fondateur du Peuple Romain. […] Pour bien peindre les mœurs, il faut connaître au juste, ce qui convient à chaque état, à l’âge, au sexe, au rang que l’on tient.

285. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE II. L’Impiété du Théâtre Anglais. » pp. 93-168

D’ailleurs ce détestable discours ne devrait pas être donné même à un démon ; parce qu’il ne convient jamais de dire, ce qui ne doit jamais être entendu. […] Je conviens qu’Hercule Œtée dans Sénèque brave le Ciel par d’horribles rodomontades.

286. (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome I « La criticomanie — Autres raisons à l’appui de ce sentiment, et les réponses aux objections. » pp. 154-206

Ainsi donc, après avoir mis à part, avec l’admiration et tous les égards qui leur sont dûs, l’esprit, le génie et l’art qui brillent dans la satire du Tartufe, et qui ont aveuglé le public sur ses défauts, comme la pompe et les richesses l’aveuglent ordinairement sur ceux des riches, on peut dire que son instruction s’est bornée à donner aux honnêtes gens l’avis qu’on pouvait les tromper sous un masque noir comme sous un masque blanc, ou sous l’habit ecclésiastique comme sous l’habit de laïc ; ce qui ressemble au soin de leur apprendre que les brigands et les voleurs, qui se mettent en embuscade aux coins des édifices profanes, pour surprendre et dépouiller les passants, se cachent aussi derrière les temples, quand ils croient y être plus avantageusement placés ; or, l’on n’attendait pas après une telle révélation ; tout le monde en conviendra ; donc la plus savante, la plus ingénieuse attaque dramatique a été dirigée contre un moulin à vent.

287. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Du Législateur de Sans–souci. » pp. 93-109

Le Maréchal de Saxe & sa femme userent de cette pieuse prérogative ; ils convinrent qu’il auroit commerce avec sa maîtresse, que Madame avec des témoins viendroit le surprendre, porteroit sa plainte, prouveroit l’adultere par ces témoins oculaires, & qu’ils seroient libres tous deux ; ce qui fut exécuté.

288. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VIII. Sentimens de S. Chrisostome. » pp. 180-195

vous courez au théatre voir & entendre, & vous préférez aux actions & aux paroles honnêtes ce qu’il ne convient pas même de nommer.

289. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre quatriéme. — Chapitre III. De l’Unité de lieu, de Tems & de Personne. » pp. 211-238

Il semble qu’on soit convenu de s’en écarter dans tous les Opéras-Bouffons de longue haleine.

290. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II.  » pp. 36-74

Presque tous les Interprettes conviennent que ce passage est la condamnation du fard & des ornemens que les femmes emploient pour parer leur sein & leur visage, parure que l’Esprit saint appelle des fornifications & des adulteres, parce qu’elles sont l’attrait le plus puissant qui y porte les hommes, & l’effet ordinaire du péché commis par les femmes, soit par les pensées dont elles sont remplies en le faisant, soit par le desir d’en exciter de pareilles dans ceux qui les voient. […] Il faut même convenir qu’une parabole imaginée pour l’instruction ne devroit pas donner de pareils exemples.

291. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III.  » pp. 75-112

Il convint de l’imperfection de ses loix sur cet article ; mais il dit qu’il ne pouvoit pas mieux faire, que les Athéniens avoient un penchant violent pour tous les vices qui rendent effeminés. […] Ils sont formés dès leur jeunesse à ce noble exercice, qui convient sur-tout aux personnes de baute naissance.

292. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV. Christine de Suede. » pp. 111-153

Voltaire la canonise, & cependant convient de toutes ses foiblesses ; c’est élever l’autel d’une main, & le renverser de l’autre. […] Voltaire en convient : ce n’est point un juge qui condamne un coupable, un Souverain qui proscrit un crime d’État, c’est une femme qui termine une galanterie par un meurtre .

293. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI. Suite d’Anecdotes illustres. » pp. 184-225

Par les lettres patentes données à Compiegne le 30 juillet 1773, le Roi ordonne qu’il soit incessamment construit à Paris sur la partie du terrein de l’Hôtel de Condé & des maisons qui y sont contiguës, comprise entre les rues de Condé, celle des fossés de M. le Prince, & le carrefour où elles se réunissent, une nouvelle Salle pour y établir le théatre de la Comédie Françoise avec les bâtimens accessoires, ordonne que l’Hôtel, les maisons, bâtimens & terrein compris dans ledit emplacement, ainsi que celles dont la démolition sera nécessaire pour l’ouverture d’une nouvelle rue, & l’agrandissement de plusieurs suivant le plan agréé par sa Majesté, seront acquises en son nom par des Commissaires nommés à cet effet aux prix qui seront convenus de gré à gré entre les Commissaires & les Propriétaires ; sinon réglé par le Maître général des bâtimens de la Ville, & l’Architecte ou Experts nommé par les Propriétaires ; & en cas de division par un tiers arbitre choisi de concert entre eux deux, autorise les Commissaires à faire, sur la totalité du terrein & des lieux désignés, un don & cession à titre gratuit au Prévôt des Marchands & Échevins de la Ville de Paris, de la portion & étendue nécessaire pour construire & élever la nouvelle salle de la comédie Françoise & autres bâtimens accessoires, ainsi que pour fermer les rues, places & rétranchemens qui entrent dans le plan qu’elle a approuvé, se réservant Sa Majesté en vertu des présentes lettres, de disposer du surplus par revente, échange ou autrement ; pour mettre le Prévôt des Marchands & Échevins en état de subvenir aux dépenses de cette grande construction, elle permet d’emprunter par contrat de constitution sur le domaine de la ville de Paris jusqu’à la concurrence de quinze cents mille livres dans l’espace de quatre ans, à raison de quatre cents mille livres par chacune des trois premières années, & trois cents mille livres pour la quatrième, & d’y affecter & hypothéquer les revenus, droits & biens patrimoniaux de la ville de Paris. […] Ces deux pieux exercices se donnent la main, il y a des salles pour la noblesse, & d’autres pour la bourgeoisie, on y peut venir en masque, on y peut même tenir la banque au moyen d’une somme dont on convient avec l’Entrepreneur, qui sans scrupule tire parti de tout, & l’Impératrice qui augmente d’autant sa ferme.

294. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre II. De l’Opéra-Sérieux. » pp. 184-251

Il est vrai qu’il serait criant de dérober aux yeux les charmes d’une jolie Danseuse ; j’en conviens ; cependant l’idée qu’on se forme des Furies éxige qu’elles n’ayent point une mine si friponne, si tentante. […] Mais si le Spectacle moderne perd du côté des paroles ; si son Drame, dénué de musique, ne peut être comparé à ceux de Quinault & des autres Poètes lyriques ; convenons en revanche qu’il les surpasse de beaucoup lorsqu’il est accompagné du chant, & des charmes de l’harmonie.

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