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386. (1694) Réfutation des Sentiments relâchés d'un nouveau théologien touchant la comédie « Réfutation des sentiments relachés d'un nouveau Théologien touchant la Comédie. » pp. 1-190

Voilà sans doute une belle idée que vous nous donnez de la Comédie, et qui ne la connaîtrait que par là, n’en pourrait avoir qu’une grande estime. […] Mais cette belle Pièce qui à votre avis n’aura été faite que pour combattre l’impiété, quoiqu’elle finisse par une terrible punition de l’Impie, et que depuis qu’on l’a faite, elle ait été vue par une infinité d’Impies ; combien, dites-moi, en a-t-elle converti ? […] Dans le commerce du monde quelqu’un oserait-il mettre parmi ses belles connaissances et ses liaisons honnêtes celle d’un Comédien, ou d’une Comédienne ? […]  » Voilà votre beau raisonnement dans toute son étendue. […] Les Pères nous ont sans doute laissé de belles déclamations contre la Comédie ; mais il ne paraît pas qu’ils reprochent aux Chrétiens de leur temps d’y assister les Dimanches et les Fêtes, ce qui me fait croire que dans les premiers siècles le dérèglement n’allait guère jusqu’à ce point.

387. (1695) Preface [Judith, tragedie] pp. -

Si Monsieur de Corneille se fût imposé cette règle, que serait devenue cette belle Scène que Rodrigue fait avec Chimene quand il la va trouver chez elle ?

388. (1668) Les Comédies et les Tragédies corrompent les mœurs bien loin de les réformer. La représentation qu’on fait des Comédies et des Tragédies sur les Théâtres publics en augmente le danger. On ne peut assister au spectacle sans péril « Chapitre XI. La représentation qu’on fait des Comédies et des Tragédies sur les Théâtres publics, en augmente le danger. L’on ne peut assister aux spectacles sans péril. » pp. 191-200

Il prouve invinciblement par ces belles paroles de Jésus-Christ à ses Disciples, « Pendant que le monde se réjouira, vous serez dans la tristesse », que l’on ne peut être heureux ici sur la terre et ensuite dans le Ciel, que chacun est heureux et malheureux à son tour

389. (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — TROISIEME PARTIE. — Tragédies à conserver sur le Théâtre de la Réformation. Avant Propos. » pp. 118-127

Si, dans les ouvrages de belles Lettres, les Savants ont soin de laisser au Lecteur intelligent le moyen d’occuper son esprit, soit en devinant, ou même en ajoutant quelque fois aux idées qui lui sont présentées, et que l’Auteur, dans cette intention, n’aura pas tout à fait développées, j’ai cru que je ne pouvais rien faire de mieux que d’imiter une conduite également sage et utile ; parce qu’elle ne dérobe rien au Lecteur ignorant (pour qui il y en a toujours assez) en même temps qu’elle procure un vrai plaisir au Lecteur de génie et de goût, qui est bien aise de pouvoir mettre quelque chose du sien à sa lecture.

390. (1661) Le monarque ou les devoirs du souverain « SIXIEME DISCOURS. Si le Prince peut apprendre les Arts Libéraux, comme la Peinture, la Musique, et l’Astrologie. » pp. 195-201

La Peinture est une imitation de la Nature, Elle exprime ses plus beaux ouvrages avec autant d’adresse que de bonheur ; et plus puissante que son modèle, qui est assujetti aux saisons, Elle nous fait voir de la neige en Eté, des fleurs en Hiver, des fruits au Printemps, et des bourgeons en Automne.

391. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre IV.  » pp. 97-128

La Duchesse de Chevreuse toujours intriguante, & belle encore, faisoit servir le Cardinal à ses passions, la Reine aidoit la Duchesse à le rabaisser par le ridicule ; elle ne l’appelloit que le cu pourri, terme injurieux, qui fut ce qui l’offensa le plus, & qui dans le fond, ne faisoit pas plus d’honneur à celles qui le lui donnoient. […] Richelieu n’étoit pas bel homme, il étoit alors vieux & cassé, Louis XIII se crut toujours le véritable pere du Prince qui lui succéda. […] Madlle. de Montespan, enlevée à son mari, entretenue pendant 15 ans, mere de six à sept Princes, promenée en triomphe dans toute la Flandre, avec des Gardes du Corps aux portieres de son Carosse, logée dans toutes les Villes comme une Reine, avec les plus beaux meubles de la Couronne, qu’on portoit par-tout, des bals masqués, des bals parés, des comédies, des feux d’artifice, recevant tous les honneurs, tous les hommages en présence du Roi & de la Reine qui accompagnoient la favorite, & pour comble de gloire, justifiée par le plus saint Prédicateur, Pocquelin de Moliere ; dans les beaux sermons de George Dandin & d’Amphitrion, qui peut méconnoître les heureux fruits du théatre ?

392. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VI. De l’indécence du Théatre. » pp. 114-137

La licence devoit moins être imputée aux Auteurs qu’au public (nous sommes devenus des saints) dont il falloit flatter la dépravation pour l’attirer (belle excuse ! […] Il avoue dans ses préfaces avoir pris la plûpart de ses pieces, & les plus belles, des Auteurs Espagnols, dont il a traduit ou francisé les pensées, les plans & le style. […] C’est sa nature, on a beau l’élaguer, on n’arrachera jamais cet arbre : Naturam expellas furcâ, tamen usque recurret.

393. (1666) Réponse à l'auteur de la lettre « letter » pp. 1-12

Je vous dirai donc sans aucun intérêt particulier, que le monde rit de vous entendre parler si négligemment d’un Ouvrage qui a été généralement approuvé, et qui ne pouvait pas manquer de l’être, sous le nom de tant de Saints Pères qui le remplissent de leurs plus beaux sentiments. […] La Religion Chrétienne qui règle jusqu’aux désirs et aux pensées, ne condamne-t-elle pas ces vastes projets d’ambition, ces grands desseins de vengeance et toutes ces aventures d’amour qui forment les plus belles idées des Poètes ? […] Labourt, « Les Belles Lettres », 1949).

394. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IV. Bassesse légale du métier de Comédien. » pp. 75-100

Elle le quitta, et s’en vint auprès de son frère, où les belles lettres étaient en grand crédit. […] Ce serait un établissement fort honorable pour les Demoiselles ; elles auraient pour dot bien flatteuse les applaudissements du public ; les plus grands Seigneurs, épris de leurs talents et de leurs grâces, étalés dans le beau jour du théâtre, et bien sûrs d’y trouver de grandes maîtresses dans les mystères, des sentiments et des plaisirs, se croiraient heureux d’apporter aux pieds de ces Déesses leur fortune et leurs charges, etc. […] « Liberalitates illas omni reipublica valde suspectas, quæ civitati nullum ornatum, nullam plebi utilitatem, solam dumtaxat voluptatem et delectationem afferant et otio favent, placuit tolli: » Et dans le beau panégyrique de ce Prince, Pline le loue d’avoir chassé les Comédiens de Rome, et inspiré au peuple le dégoût du théâtre, l’aversion pour ces molles et indécentes représentations, qu’il applaudissait dans les autres Empereurs : « Idem populus scenici aliquando Imperatoris spectator et applausor, nunc in Pantomimos adversatur artes effeminatas damnat, et indecora studia. » Les mauvais Princes même, dans des instants de raison et de vertu, rendaient justice à l’infamie de ce métier.

395. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE IV. Suite des effets des Passions. » pp. 84-107

les mendiants, qui se répandent partout, ne se sont pas encore avisés d'aller demander à la porte de l'Hôtel ; ils auraient beau s'offrir à la pitié de ces âmes si tendres, il n'en auraient que des rebuts. […] L'imagination du spectateur est souvent froide, engourdie, distraite ; celle de l'Auteur, communément belle, vive, cultivée, a formé ce tableau vivant, et en anime tous les traits, pour frapper les yeux et le cœur. […] Il ajoute judicieusement : « On a beau dire qu'on n'introduit jamais des scélérats sur la scène sans en donner de l'horreur.

396. (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « Post-scriptum. » pp. 201-216

Les avantages ineffables du nouveau pacte social, nous ne pouvons que les entrevoir de loin, derrière nos magistrats arbitraires, comme un prisonnier aperçoit, à travers les barreaux de sa prison, quelque lueur du soleil, ou des traces d’une belle campagne qu’il ne peut parcourir.

397. (1807) Préface pour une édition des deux lettres à l'auteur des Imaginaires « [Chapitre 2] » pp. 78-82

Toute la grâce que je lui demande, c’est qu’il ne m’oblige pas non plus à croire un fait qu’il avance, lorsqu’il dit que le monde fut partagé entre les Réponses qu’on fit à ma Lettre, et qu’on disputa longtemps laquelle des deux était la plus belle.

398. (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — DEUXIEME PARTIE. — Méthode et règlement pour réformer le Théâtre. Avant Propos. » pp. 87-98

Je conviens qu’ils n’ont pas la même forme ; qu’ils sont destitués de l’appareil majestueux des Théâtres, des Cirques et des Amphithéâtres ; et c’est peut-être ce qui empêche qu’on ne les reconnaisse : mais, si ces magnifiques monuments, dont nous avons encore de si beaux restes, étaient rétablis, et si on en bâtissait d’autres sur leur modèle, on serait forcé de convenir que les Spectacles, en passant des Payens aux Chrétiens, n’ont fait que changer de nom.

399. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [B] » pp. 380-390

Les Italiens ont eux-mêmes reconnu la supériorité du comique Français ; & tandis que leurs Histrions se soutiennent dans le centre des beaux Arts, Florence les a proscrits de son Théâtre ; & a substitué à leurs Farces les meilleures Comédies de Molière traduites en Italien. […] Quelque critique, pour condanner ce genre, a osé dire qu’il était nouveau ; on l’en a cru sur sa parole, tant la légèreté & l’indifférence d’un certain Public, sur les opinions littéraires, donne beau jeu à l’ignorance & à l’effronterie.

400. (1705) Sermon contre la comédie et le bal « I. Point. » pp. 178-200

Cette passion insensée qui fait des ravages incroyables dans le monde, ce feu d’enfer qui enflamme le cercle de la vie de la plupart des enfants d’Adam, l’impureté dont saint Paul ne veut pas que le nom même soit prononcé parmi des Chrétiens, parce que son image est contagieuse, ou si l’on est obligé d’en parler, ce ne doit être qu’avec horreur, qu’en la flétrissant, la traitant avec exécration comme une maladie honteuse qui ravale l’homme à la condition des bêtes, ce vice, dis-je, y est transformé en vertus, il est mis en honneur et en crédit, regardé comme une belle faiblesse dont les âmes les plus héroïques ne sont pas exemptes, et qui leur sert d’aiguillon pour entreprendre les choses les plus difficiles, on s’y remplit du plaisir qu’on se figure à aimer et à être aimé, on y ouvre son cœur aux cajoleries, on en apprend le langage, et dans les intrigues de la pièce les détestables adresses que l’auteur suggère pour réussir, or n’est-ce pas là une idolâtrie dont se souille le cœur humain ? […] Il y a encore d’autres vices dont nous ne sommes pas moins susceptibles que de celui-là qui y sont pareillement excités, tels sont l’orgueil, l’ambition, les maximes du faux honneur, la jalousie, la vengeance, tous peints avec des couleurs si belles, qu’on se sent forcé d’estimer ceux en qui ils se trouvent.

401. (1666) De l’éducation chrétienne des enfants « V. AVIS. Touchant les Comédies. » pp. 203-229

Ils apprennent d’elle à regarder les mouvements d’un amour déréglé comme des «  … …impressions, Que forment en naissant les belles passions ». Et le jeune homme qu’elle aime, tout chrétien qu’il est, et prêt de souffrir la mort pour la défense de la foi et de la pureté même de cette Sainte, ne laisse pas de lui persuader d’épouser ce jeune Prince païen qui l’aime, et de la faire assurer de sa part que, « C’est tout ce que veut d’elle Le souvenir mourant d’une flamme si belle. » De sorte que si l’on voit dans cette pièce en la personne d’une Sainte, la foi triomphante des supplices les plus honteux ; on y voit en même temps l’amour profane triompher de plusieurs misérables qu’il s’est assujettis, et poursuivre jusqu’à la mort une Sainte Vierge, et un généreux martyr.

402. (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique — CHAPITRE PREMIER. De la Passion de presque tous les Peuples pour la Poësie Dramatique. » pp. 8-16

Leurs décorations sont belles, leurs Piéces ont des intermedes, qui sont des ballets ou quelque farce boufone, pour délasser : mais dans le corps de la Tragédie, ou de la Comédie, tout est moral.

403. (1752) Traité sur la poésie dramatique « Traité sur la poésie dramatique —  RECAPITULATION. » pp. 382-390

Les Grecs si habiles dans tous les beaux Arts, connurent de bonne heure le véritable goût de chaque Piéce de Poësie.

404. (1608) Traitté contre les masques pp. 3-36

Aug. ne l’a en rien espargnee la portrayãt descharnee auec de beaux traits de plume, ausquels ie renuoye le lecteur, pour venir à ceux qui sont moins cogneuz & maniez : S. […] Henry 3. 1579. 1580. ont faict de belles ordonnances contre les masques pour les inconueniens, volleries & assacinats commis par personnes masquez Legis Longobard. tit. […] Alcuin semble auoir imité ce beau traict de S. […] fadaise  : & à ce propos ie concluray par ces belles parolles de S.

405. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE II. L’Impiété du Théâtre Anglais. » pp. 93-168

 » Belle préparation à la mort dans un homme Chrétien ! […] Sams. « Le nom de Samson est un très beau nom…. […]  » Véritablement, un Auteur pour qui le blasphème n’aurait pas un attrait extraordinaire, ou qui ne croirait pas qu’il fût du bel air de blasphémer, n’affecterait point ainsi de faire sortir de l’organe d’un furibond les oracles de Jésus-Christ. […] Berinthie qui s’est chargée de séduire Amanda la sollicite et la presse par cette belle harangue : « Mr Le Digne vous a traitée comme les Interprètes font le texte : rien ne lui a échappé dans l’exposition de vos rares qualités.

406. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre III. But que le Spectacle moderne doit se proposer. » pp. 123-132

Il résulte de tout ceci qu’Opéra-Bouffon veut dire un Spectacle de choses communes, de pures frivolités ; une éspèce de Drame où l’esprit ne se montre guères, où l’oreille seule est enchantée par les sons de la Musique ; & enfin un lieu dans lequel s’assemblent en foule des Spectateurs plus avides de nouveautès passagères que du sublime & du vrai beau ; & plus curieux d’images basses & populaires que d’un Tableau noble & d’une vaste étendue. »** Quoique St Evremont n’en ait point voulu parler, il semble pourtant le définir assez, tel qu’il parait au prémier coup-d’œil, dans ce qu’il écrit au sujet de l’Opéra Sérieux.

407. (1710) Instructions sur divers sujets de morale « INSTRUCTION II. Sur les Spectacles. — CHAPITRE II. Réponse aux objections qu'on tire de saint Thomas pour justifier les Spectacles, et aux mauvaises raisons qu'allèguent ceux qui croient pouvoir les fréquenter sans péché. » pp. 55-63

Elles ont beau le dire.

408. (1689) Le Missionnaire de l’Oratoire « [FRONTISPICE] — Chapitre » pp. 15-18

Comme en effet ils sont dignes de blâme, et vous aussi, et au jugement de Dieu tous ces raisonnements humains, ces arguments spécieux, ces beaux plaidoyers, qu’on étale en faveur de la chair et du monde, seront comme des toiles d’araignées subtilement tissuesf, mais qui se dissipent par un petit vent ; car tous ces raisonnements humains ne sont pas si solides et inébranlables que le ciel et la terre, ni le ciel et la terre qu’une seule parole ou syllabe de l’Écriture ; Facilius est cælum et terram præterire quam unum apicem de lege cadere (Luc 16. 17.).

409. (1643) Les Morales chrétiennes « Des Théâtres. » pp. 511-519

Il est certain que si les théâtres ne représentaient que les choses honnêtes, la pompe de leur appareil, et les naïvetés de leurs actions, seraient de belles et puissantes armes, pour assurer l’empire de la vertu dans le cœur.

410. (1684) Sixiéme discours. Des Comedies [Discours sur les sujets les plus ordinaires du monde. Premiere partie] « Sixiéme Discours. Des Comedies. » pp. 279-325

L’Asie & l’Afrique, plusieurs des plus belles parties de l’Europe sont devenuës la proye des Infidelles. […] Une partie de l’Europe, la Grece, la Macedoine, plusieurs des plus belles Parties du Septentrion ne sont tombées dans le mesme malheur, que pour avoir suivy la mesme route. […] La Piece est peut-estre innocente, elle est peut-estre criminelle ; le peché est peut-estre en embuscade sous ces beaux vers, il n’y est peut-estre pas ; on entre sans frayeur dans un lieu si redoutable. […] Les bons prennent quelquefois le goût du mal en voyant representer ces Pieces ambiguës, le mal s’insinuë jusques dans leur cœur, à la faveur de ces belles apparences, sans qu’ils s’en soient presque apperçus : Des ennemis déguisez sont quelquefois dans le cœur de la ville, sans que personne les ait vû entrer ; & comme on ne reconnoist que ce sont les ennemis, que quand ils commencent à tuer, à brûler, à piller, ces personnes ne remarquent les méchantes qualitez de ces Pieces, que quand leur cœur est pris, & qu’il est passé de la vertu à l’indifference, de l’indifference au peché, du peché quelquefois à la coûtume, à l’insensibilité, à l’impudence. […] Tertullien explique ce passage par ces belles paroles : Saginentur eiusmodi dulcibus cõvivæ sui, nostræ cœnæ, nostræ nuptiæ nondum sunt, non possumus discumbere cum illis, quia nec illi nobiscum.

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