dit qu'elle commençait toujours par l'honneur des Dieux, et que c'est un sentiment de Religion de nommer le Théâtre un Temple ou un Sanctuaire et la procession qui se faisait dans Athènes aux Bacchanales pour sacrifier à Bacchus le Bouc dont on avait honoré le Poète vainqueur en la dispute de la Tragédie, était estimée si religieuse, que Plutarque se plaint de ce que la pompe orgueilleuse de son temps avait corrompu la simplicité de son origine ; Car il n'y avait au commencement qu'une cruche pleine de vin, et un cep de vigne au-devant du Bouc, suivi de celui qui portait une corbeille pleine de figues, avec quelques marques de l'impudence de cette superstition ; mais par le cours des années la pompe en était devenue si superbe, que sans s'arrêter aux vieilles cérémonies, on y voyait une infinité de gens masqués, grand nombre de vases d'or et d'argent, de riches habits et des chariots magnifiques, dans la croyance qu'ils honoraient ainsi plus dévotement que leurs aïeux cette Divinité chimérique : Et comme l'institution et la célébration de Jeux du Théâtre n'avait point d'autre fondement que la dévotion des Païens envers leurs Dieux, ils y ont presque toujours représenté leurs personnes, et les miracles qu'ils avaient faits. […] « Sors que vous êtes, je représente un furieux. » Mais sans rechercher d'autres preuves de l'usage religieux des Tragédies et des Comédies, il leur faut attribuer toute la superstition des autres Spectacles ; Car quand les Auteurs écrivent que les Jeux de Théâtre étaient donnés au peuple par les Magistrats, et qu'ils n'en désignent point quelque espèce particulière, il y faut presque toujours comprendre les représentations des Poèmes Dramatiques, qui n'en furent guère séparées dans les derniers temps, et les témoignages des bons Auteurs que nous rapporterons dans la suite de cette Dissertation, autoriseront encore ces vérités.
Les principes qu’on vient de lire, qui découlent de la Charte, sont anathématisés sans doute, par l’intolérance religieuse, et par cet esprit d’indépendance et de domination, qui, de tout temps, caractérisèrent trop souvent, le clergé séculier et régulier. […] On se croirait aujourd’hui reporté à cette époque de rébellion religieuse et régicide, qui se souilla de tant de crimes et s’arma de poignards parricides pour verser le sang des rois.
Les mêmes Fondateurs en 1210. avec la permission de l’Evêque, firent aussi bâtir au même lieu une Chapelle sous l’invocation de la très-sainte Trinité, et y fondèrent l’Office de tous les jours, par trois Religieux qu’ils y firent venir de l’Abbaye d’Hermière en Brie, de l’Ordre de Prémontré. […] plusieurs années les Fondateurs et tous leurs parents étant décedés, cette bonne œuvre fut totalement abandonnée ; et les Religieux, dont le nombre fut augmenté par leur Abbé, appliquèrent tout le profit à l’utilité particulière de l’Ordre.
où le Souverain Pontife assiste quelquefois en personne à des Comédies qui se représentent chez les Religieux les plus réguliers et les plus austères, ou dans des Collèges pour exercer la jeunesse et la délasser en même temps, après une année de fatigues dans l’étude sérieuse des belles Lettres. […] S’il était vrai que les Comédiens fussent infâmes pour monter sur le Théâtre et pour jouer la Comédie, je voudrais savoir en vertu de quoi les jeunes gens dans les Collèges, les personnes les plus sages, et quelquefois les plus qualifiées, les Princes mêmes et les Rois, les Prêtres et les Religieux, qui tous pour se divertir, et sans scandale, représentent des personnages dans des Comédies, ne sont point infâmes ; et que les Comédiens le sont, eux qui ne font pas autre chose ? […] tous les Jeux que contre la Comédie : et j’ai remarqué dans le second tome des Conciles, que dans celui de Poitiers une Abbesse fut accusée par ses propres Religieuses pour avoir joué aux Dés dans son Monastère. […] Bernard : « Les bagatelles dans la bouche d’un Séculier ne sont que des bagatelles, mais, dans celle d’un Prêtre ou d’un Religieux, ce sont des blasphèmes. […] J’en excepte les Comédies qui se jouent en certains Pays, comme à Rome, à Venise, et dans toute l’Italie, où il est si ordinaire de voir des Religieux assister aux Spectacles, que cela est passé en coutume, et qu’il n’y a plus de scandale à donner ni à recevoir : de même qu’il n’y a point de mal pour eux de se trouver aux Comédies qui se jouent dans les Maisons Religieuses, ou dans les Collèges pour exercer la jeunesse, puisque c’est aussi un usage d’y voir sans scandale les Religieux des Ordres les plus austères.
Ce serait un étrange personnage de Comédie qu'un Religieux modeste et silencieux.
[Introduction] Il est étrange, Mes Révérends Pères, que vous ayez si mal profité des Avis que l’on donna l’année passée à vos Confrères de Luxembourg sur leur scandaleuse Procession ; et que l’on soit obligé de vous en donner de semblables sur ce que vous venez de faire à Aix qui n’est pas moins indigne de Chrétiens, de Religieux et de Prêtres.
Le Religieux à qui on avait attribué la Lettre ou Dissertation pour la défense de la comédie, a satisfait au public par un désaveu aussi humble que solennel.
où il décide le contraire par ces paroles : « A l’égard de ceux qui vont à la Comédie, il y en a qu’il serait indécent et scandaleux d’y voir assister, comme sont les Religieux, et surtout les plus réformés ; et je vous avoue que j’aurais de la peine à les sauver du péché mortel, aussi bien que les Evêques, les Abbés et tous les gens constitués en dignité Ecclésiastique. […] La deuxième, que plusieurs Religieux et personnes de piété sont à la même heure occupés à chanter les louanges de Dieu. […] [NDE] Un nomocanon est une collection de textes juridiques anciens sur la vie ecclésiastique et religieuse qui regroupe des lois seculières et religieuses.
Cette pièce a fait tant de bruit dans Paris ; elle a causé un scandale si public, et tous les gens de bien en ont ressenti une si juste douleur, que c’est trahir visiblement la cause de Dieu, de se taire dans une occasion où sa Gloire est ouvertement attaquée, où la Foi est exposée aux insultes d’un Bouffon qui fait commerce de ses Mystères, et qui en prostitue la sainteté : où un Athée foudroyé en apparence, foudroie en effet tous les fondements de la Religion, à la face du Louvre, dans la Maison d’un Prince Chrétien, à la vue de tant de sages Magistrats et si zélés pour les intérêts de Dieu, en dérision de tant de bons Pasteurs, que l’on fait passer pour des Tartuffe, et dont l’on décrie artificieusement la conduite : mais principalement sous le Règne du plus Grand et du plus Religieux Monarque du Monde : cependant que ce généreux Prince occupe tous ses soins à maintenir la Religion, Molière travaille à la détruire : le Roi abat les Temples de l’Hérésie, et Molière élève des Autels à l’Impiété, et autant que la vertu du Prince s’efforce d’établir dans le cœur de ses Sujets le Culte du vrai Dieu par l’exemple de ses actions ; autant l’humeur libertine de Molière tâche d’en ruiner la créance dans leurs esprits, par la licence de ses Ouvrages. […] Molière fait pis, il a déguisé cette Coquette, et sous le voile de l’hypocrisie, il a caché ses obscénités et ses malices : tantôt il l’habille en religieuse, et la fait sortir d’un Couvent, ce n’est pas pour garder plus étroitement ses vœux : tantôt il la fait paraître en Paysanne, qui fait bonnement la révérence, quand on lui parle d’amour : quelquefois c’est une innocente qui tourne par des équivoques étudiées l’esprit à de sales pensées, et Molière le fidèle Interprète de sa naïveté tâche de faire comprendre par ses postures, que cette pauvre Niaise n’ose exprimer par ses paroles : sa Critique est un Commentaire pire que le Texte, et un supplément de malice à l’ingénuité de son Agnès, et confondant enfin l’hypocrisie avec l’impiété, il a levé le masque à sa fausse dévote, et l’a rendue publiquement impie et sacrilège. […] C’est là que l’on peut dire que l’impiété et le libertinage se présentent à tous moments à l’imagination : une Religieuse débauchée, et dont l’on publie la prostitution : un Pauvre à qui l’on donne l’aumône, à condition de renier DieuEn la première représentation. […] Molière devrait rentrer en lui-même, et considérer qu’il est très dangereux de se jouer à Dieu, que l’impiété ne demeure jamais impunie, et que si elle échappe quelquefois aux feux de la Terre, elle ne peut éviter ceux du Ciel ; qu’un abîme attire un autre abîme, et que les Foudres de la Justice divine ne ressemblent pas à ceux du Théâtre : ou pour le moins s’il a perdu tout respect pour le Ciel (ce que pieusement je ne veux pas croire) il ne soit pas abusé de la bonté d’un grand Prince, ni de la piété d’une Reine si Religieuse, à qui il est à charge, et dont il fait gloire de choquer les sentimentsq.
Je ne m’érige point en Juge de la querelle des deux Religieux : il ne convient point à deux personnes d’un même ordre de se quereller en public.
Des Comédiens français rétablis à raison de leur profession, dans leurs droits civils et religieux, et entièrement affranchis des anathèmes et des excommunications de l’Eglise.
Depuis que ce goût domine parmi nous, il ne se fait plus d’établissement Religieux, on ne travaille au contraire qu’à les détruire. Les Communautés des Religieuses ne font pourtant pas moins d’honneur à leur sexe que les Vestales, & les Prêtresses de la Pudicité. […] La virginité Religieuse, quoiqu’à labri de bien des assauts, dans la forteresse d’un cloître, ne se montre que couverte de boucliers. Les statuts de tous les Ordres défendent aux Religieux de sortir sans compagnon, & aux Religieuses, de venir au parloir sans auditrice. […] Vous prêchez apparamment à des Religieuses ; rien dans votre sermon qui convienne à des actrices.
On ne fait paroître des Religieux & des Abbés sur le théatre que pour se moquer d’eux, ce qui, par un contre coup inévitable, fait mépriser l’Etat, l’Eglise, la Religion : par cette raison, les Théatres Britaniques, Luthériens, Calvinistes sont remplis de capuchons & de petits colets ; & au contraire tous les Princes catholiques, sur-tout les Rois de France ont constamment défendu par leurs Ordonnances d’en prendre les habits, d’en jouer les rôles, d’en faire aucune mention ; cette loi s’observe à la Cour & à la Comédie Françoise, fort peu aux Italiens & aux théatres de société, à l’Opera ; le caractere des pieces ne le comporte point. […] Le Cardinal Passioneï a donné de nos jours des comédies d’une autre espece ; il avoit des talens & des lumieres, mais il étoit ennemi des Religieux, singulierement des Jésuites, avec un excès si bisarre, qu’il ne put souffrir un seul de leurs livres dans sa nombreuse Bibliotheque ; Petau, Bourdaloue, les Journaux de Trevoux, &c. […] Les Religieux ne s’échappent guères & ne le feroient pas impunément. […] Après sa mort, les victorins ses confreres ont fait son apologie : je loue leur zele & leur charité, & je crois sans peine qu’il y a des choses vraies, qu’on a beaucoup exagéré les torts de ce Religieux ; mais voici un mot qui n’est pas douteux, qui vaut mieux lui seul plus que toutes les bouffonneries vraies ou fausses qu’on lui attribue, & qu’on appelle bons mots, parce qu’elles sont indécentes ; il fit une mort chrétienne & religieuse. […] On répandit qu’il étoit mort d’une colique dans un de ses voyages près de Geneve ; ce bruit s’accrédita & fut répandu dans tous les Dictionnaires ; on se trompoit, dans la vérité il se déroba in cognito, & se fit Religieux pour mieux travailler à son salut ; il y fut inconnu ; ce ne fut que quelques années après qu’il y fut découvert, comme le rapporte dans son supplément le Dictionnaire d’une Société de gens de lettres, qui d’abord avoit adopté ce bruit populaire.
Si cela est, plus l’union conjugale sera formée par des motifs purs & saints, plus les applaudissemens doivent lui être prodigués ; plus elle s’écartera de ces maximes si religieuses, plus les suffrages doivent être contre elle.
Le Pervigilium Veneris de Catulle, tous les anciens épithalames, qu’on imite de nos jours, étoient de vraies prieres religieuses. […] Les familles font semblant de craindre les exhortations d’un Moine qui séduit les enfans & leur donne la vocation religieuse, & elles ne craignent pas les vocations théatrales que donnent les pieces & les Actrices, en les éloignant du mariage & les rendant malheureux. Pour un jeune homme qui prend le froc, il y en a mille qui prennent une maîtresse au spectacle ; pour une fille religieuse, le spectacle forme mille coquettes, & en les jetant dans l’incontinence, les dégoûte d’un établissement légitime, & leur en fait trouver les peines insupportables. […] Toutes les nations du monde, sans exception, ont fait du mariage une action religieuse, depuis le premier que Dieu daigna faire dans le paradis terrestre. […] Paul & toute la tradition, du moins ne le font qu’avec religion, devant le Ministre, avec des cérémonies & des prieres religieuses.
Il s’agit d’Etienne Pivert de Sénancour (1770-1846), connu comme l’auteur d’Oberman (1804), qui a ensuite publié en 1825 un Résumé de l’histoire des traditions morales et religieuses.
De certaines processions ou cérémonies religieuses, pratiquées par le clergé, et qui sont ou ont été beaucoup plus nuisibles au culte et a la morale publique que les comédies représentées sur nos théâtres. […] Pierre qui en est la collégiale ; et ensuite aux jacobins, aux cordeliers, et aux autres maisons religieuses. […] Pierre, et celles des églises des jacobins, des cordeliers et des autres maisons religieuses, pour servir de stations à cette mascarade impie, cela ne se conçoit pas. […] Elles ont un but religieux et politique qu’on ne peut que louer et approuver. […] Les plus libertins d’entre les séculiers, se mêlaient parmi le clergé pour faire aussi quelques personnages de fous en habits ecclésiastiques, de moines et de religieuses.
Ainsi point d’excommunication ni religieuse ni civile.
Le tableau historique de plusieurs saints honorés par l’Eglise catholique, apostolique et romaine, qui ont été comédiens de profession, et qui ont souffert le martyre pour la foi de Jésus-Christ ; Le récit de plusieurs processions, messes, et autres cérémonies religieuses, pratiquées par le clergé, et qui ont été et sont encore, par leur scandale et leurs obscénités, infiniment plus nuisibles à la religion que l’exercice de la profession de comédien ; L’exposé de divers conciles constitutifs de la discipline ecclésiastique qui imposent aux évêques et aux prêtres, dans leur vie privée, des devoirs qui ne sont plus pratiqués de nos jours et qu’il est utile de rappeler à leur mémoire ; attendu que puisqu’ils se montrent rigides observateurs des canons des conciles, à l’égard des fidèles, ils doivent eux-mêmes donner l’exemple de leur soumission aux lois qui leur sont propres, et sans l’exécution desquelles la religion perdrait son lustre et l’utilité de son institution ; L’oubli qui a eu lieu, de la part des évêques et des prêtres, de ces lois canoniques sur la discipline qu’ils doivent pratiquer, a excité l’ambition du clergé, au point de vouloir s’emparer du gouvernement de l’Etat, et lui a fait commettre des crimes qui ont ensanglanté le trône de nos rois, et bouleversé le royaume.
Les Pièces qui devaient y être représentées, ne convenaient plus au titre religieux qui caracterisait leur Compagnie. […] Roi ayant ci-devant permis à la Troupe de ses Comédiens Français de s’établir dans la rue des Petits-Champs, ils auraient acquis l’Hôtel de Lussan, et une maison contiguë audit Hôtel, appartenante aux Religieuses Carmelites de la rue du Boulloir, l’un et l’autre situés dans ladite rue des Petits-Champs : Savoir, ledit Hôtel par adjudication à eux faite en l’Assemblée des Créanciers du sieur Ménardeau de Beaumont, et de la Dame son Epouse, le vingt-sixième jour de Janvier dernier, sous le nom de Maître Denis Bechet, Notaire au Châtelet de Paris, pour la somme de cent mille livres, et ladite Maison par Contrat volontaire du cinquième Décembre dernier, pour la somme de seize mille livres, sous le nom du sieur du Boisguerin, lesquels Bechet et Dubois auraient fait leurs déclarations au profit desdits Comédiens, ledit jour cinquième Décembre, et le trentième jour de Janvier dernier ; sur le prix de laquelle maison acquise desdites Religieuses, lesdits Comédiens auraient payé la somme de six mille livres ; et en outre les droits de lods et ventes : et Sa Majesté ayant depuis trouvé plus à propos de permettre auxdits Comédiens, de faire leur établissement dans le Jeu de Paume de l’Etoile, rue des Fossés saint-Germain-des-Prez, Sa Majesté étant en son Conseil, a cassé et déclaré nuls et de nul effet lesdites adjudications et contrat de vente desdits jours cinquième Décembre, et vingt-sixième Janvier derniers, sans que les Créanciers desdits Sieur et Dame de Ménardeau, lesdites Religieuses, et tous autres, puissent pour raison de ce prétendre aucuns dépens, dommages et intérêts à l’encontre desdits Comédiens, ni dudit du Boisguerin : Voulant Sa Majesté que les sommes qui ont été payées à compte du prix desdites acquisitions, ensemble les droits de lods et ventes, soient rendues et restituées à ceux qui en auront fait le payement sans difficulté.
Que les Religieux et les Prêtres pécheraient mortellement en allant à la Comédie, 6. […] Louis le Débonnaire, défend aux bouffons de prendre des habits de Religieux, 182.
Fils d’un pere Huguenot & d’une mere Catholique, étant malade à l’extrêmité, il refusa de voir des Religieux qui venoient l’exhorter, & envoya son valet dire à son pere qu’il mourroit Huguenot, & à sa mere qu’il mourroit Catholique, moyen de les consoler , dit-il, qui sent tout-à-fait son Athée . […] A Paris une riche héritiere, parfaitement belle, & d’une illustre naissance, avoit été elevée dans un couvent, & se destinoit à l’état religieux. […] On laissa dans son lit une poupée, habillée en Religieuse. […] La fille déclara qu’elle ne vouloit pas être Religieuse, mais épouser le Duc N…, & le mariage étant convenable, la famille y donna les mains. […] C’est bien mal entrer dans les sentimens d’une si religieuse Princesse, qui, comme on le dit avec raison, a respiré toute sa vie l’air le plus pur de la religion & de la vertu, dans un heureux climat, qu’a épargné la corruption qui inonde le reste de l’Europe .
Je ne puis vous exprimer le plaisir que cette Lettre m’a donné : car outre que tout le monde doit être édifié des sentiments humbles et chrétiens dont elle est pleine, je vois avec joie que quelques mots un peu trop forts qui m’avaient échappé dans les Discours ne tombent que sur un Fantôme, et sur un Auteur inconnu, qui pour défendre la Comédie, s’est servi mal à propos du nom ou du moins des qualités d’un Prêtre et d’un Religieux tel que le R.