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243. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE V. Des Pièces tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 96-119

Il est vrai que comme il ne les nomme pas, il nous laisse la liberté de douter du poids de leur décision.

244. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre II. Discipline du Palais. » pp. 26-50

.), parle d’un Magistrat nommé Olibrius, Préfet de Rome, si enivré de la passion du théâtre, qu’il y passait la vie.

245. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre III. Jurisprudence du Royaume. » pp. 51-74

Le Parlement les rebuta, comme personnes que les bonnes mœurs, les saints canons, les Pères de l’Eglise, et nos Rois même, ont toujours réputés infâmes, et leur défendit de jouer, ni de plus obtenir de semblables lettres ; et néanmoins dès que la Cour fut de retour de Poitiers, le Roi voulut qu’ils rouvrissent leur théâtre. » Le Journal dit que ce fut le 19 mai que ces Italiens nommés li Gelosi, apparemment du nom de leur chef, parurent sur la scène à l’Hôtel de Bourbon, qu’ils prenaient quatre sols par tête à l’entrée, et que l’affluence du monde était si grande, « que les quatre meilleurs Prédicateurs de Paris ensemble n’en avaient pas autant ».

246. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre IV. Bassesse légale du métier de Comédien. » pp. 75-100

Cette Eminence goûtait si fort les contes, les saillies, l’humeur de Boisrobert, que quand elle était attaquée de quelque accès de mélancolie, qu’on nomme aujourd’hui des vapeurs, ses Médecins pour tout remède ordonnaient recipé une once de Boisrobert : plaisanterie qui le fit rappeler à la Cour quand il fut disgracié pour ses jurements, son jeu, sa dissolution, ses dettes, et ses mauvaises mœurs.

247. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VII. De l’infamie canonique des Comédiens. » pp. 153-175

A leur place un troisième amant, nommé Moligni, se chargea de poursuivre le procès.

248. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Procès des Comédiens. » pp. 169-224

Il est vrai qu’on ne les nomme pas, & qu’il est bien des femmes dans le monde qui leur ressemblent : mais ce sont leurs traits, leur langage, leurs allures ; personne ne peut s’y méprendre. […] On leur devoit la justice & la distinction de les nommer.

249. (1781) Réflexions sur les dangers des spectacles pp. 364-386

Mais si ces deux inconciliables ennemis ne peuvent faire de conquête qu’aux dépens l’un de l’autre ; si leur gloire simultanée est un monstre dans l’ordre des choses possibles ; que deviendra, à moins d’une révolution imprévue et subite, cette religion antique qui a couvert le globe de ses branches et de ses fruits, qu’un philosophe, qui ne l’aimoit pas, a nommée le foyer de toutes les vertus, la philosophie de tous les âges, la base des mœurs publiques ; le ressort le plus puissant qui soit dans la main des législateurs, plus fort que l’intérêt, plus universel que l’honneur, plus actif que l’amour de la patrie ; le garant le plus sûr que les rois puissent avoir de la fidélité de leurs peuples et les peuples de la justice de leurs rois ; la consolation des malheureux, le pacte de Dieu avec les hommes, et pour employer une image d’Homère, la chaîne d’or qui suspend la terre au trône de l’éternel.

250. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II. Autres Anecdotes du Théatre. » pp. 43-70

La nouvelle comédie, aussi libre & dissolue pour les mœurs ; fut plus retenue pour la satire, il lui fut défendu de nommer, de désigner les gens.

251. (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Maurice de Saxe. » pp. 118-145

On la nomma modestement une fievre lente, continuelle & putride, qui le dégoûta sans retour.

252. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE II. Théatres de Société. » pp. 30-56

L’Auteur de cette épître a eu la sagesse de ne pas se nommer ; le Mercure n’a pas eu celle de jeter au feu ces impertinences.

253. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VI. Suite de l’infamie civile. » pp. 126-152

Aussi faisait-il éclore à point nommé des mémoires apologétiques, des procédures, des arrêts du Parlement, des ordres du Roi, des édits et déclarations pour autoriser sa conduite.

254. (1789) La liberté du théâtre pp. 1-45

Des hommes du premier mérite n’ont-ils pas été, de leur vivant, désignés avec outrage, & presque nommés sur le Théâtre, tandis qu’on ne permettoit pas d’y dénoncer, d’une manière vague & générale, les vexations les plus tyranniques, & les abus les plus crians ?

255. (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « Résumé et moyens de réformation. » pp. 105-200

Ces hommes, quoiqu’au fond indifférents à l’honneur et à l’honnêteté, craindraient cependant d’être produits ou simplement nommés en scène comme faisant la société de ces infâmes, et partager publiquement leur infamie, sans avoir une plus grande part aux avantages dont elle est le prix.

256. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VIII. Anecdotes illustres du Théatre. » pp. 186-214

L’un des mauvais procédés qui piquerent le plus vivement le Prince d’Orange, & lui firent entreprendre le siége d’Amsterdam où il échoua, ce fut de ce qu’on l’y avoit joué sut le théatre, en représentant ses amours avec une actrice Françoise nommée la Barre.

257. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre III.  » pp. 68-96

Plusieurs drogues qu’il nomme sont inconnues, ou hors d’usage ; on en a trouvé bien d’autres ; cet art si cher aux femmes, dit M.

258. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Faste. » pp. 154-183

Le sieur N. a composé un fard admirable qu’il nomme l’essence virginale, & qu’il débite à Paris & à la Cour.

259. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VII. Autre suite de diversités curieuses. » pp. 173-202

Dans un grand Conseil il fut nommé des Députés pour aller au Louvre en faire l’offre.

260. (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « P.A. LAVAL A M.J.J. ROUSSEAU, CITOYEN DE GENÈVE. » pp. 3-189

Je sais bien qu’aujourd’hui particulierement que nous sommes en guerre, un Auteur auroit mauvais jeu à faire le panégyrique de la France ; mais sans nommer les gens par leur nom, un habile homme sait se faire entendre ; j’en reviens donc à ce que j’ai dit : On ne doit point heurter ouvertement le goût d’une nation, mais avec des tempéramens faciles pour les gens à talens, on vient à bout d’adoucir la censure qu’on en fait, et; insensiblement on le rectifie. […] Je pourrois, si j’osois, vous nommer un homme en place qui, après la représentation de Nanine, rentra avec précipitation chez lui pour ordonner à son Suisse de ne refuser sa porte à qui que ce fût, pas même aux souguenilles et; aux sabots, ce furent ses propres termes ; le Suisse fut si fort étonné du discours de son maître, qui jusques là n’avoit apparemment pas été fort débonnaire, qu’il dit à un valet de chambre qui se rencontra près de lui, morbleu si je n’avois apperçu Mlle. […] Je voudrois qu’il me fut permis de nommer ici toutes les Actrices qui joignent des talens supérieurs à la régularité des mœurs, on verroit que si, malgré tous les piéges qu’on leur tend, il en reste encore un si grand nombre qui sont dignes de notre estime, il est conséquemment indubitable qu’on réüssiroit aisément à former une troupe de Comédiens telle que le sage M. d’Alembert la propose à la République.

261. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 10 « Réflexions sur le théâtre, vol 10 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE DIXIEME. — CHAPITRE III. Extrait de quelques Livres.  » pp. 72-105

Une comédienne nommée la Favart, agitoit son cœur par ses galanteries.

262. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre I.  » pp. 3-35

Ce libelle est appelé delibération, tenue par les Ecoliers, traduite en François, & signifiée au Sieur Durosoi, présidée par un Doyen, qu’on ne nomme pas, mais qu’on établit Syndic.

263. (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Anecdotes de Cour. » pp. 171-202

Il composa un poëme sur l’Institution d’un Prince, qui, quoique médiocre, le fit connoître au Roi, & nommer précepteur de Louis XIII alors Dauphin.

264. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Suite de Mêlanges. » pp. 84-120

Quand Mignard quitta l’Italie, la plus fameuse actrice de Rome nommée la Coque, lui fit faire son portrait, le lui paya & le lui donna, à condition qu’il le porteroit en France, & le feroit voir à la Cour comme une beauté parfaite.

265. (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Seconde lettre contre les spectacles. » pp. 60-145

Par des confidens & des confidentes, que je n’oserois nommer par leur nom, & qui semblent n’avoir d’autres fonctions, que de corrompre ceux qu’ils conseillent. […] … N’est-ce rien, que d’immoler des Chrétiennes à l’incontinence publique, d’une maniere plus dangéreuse, qu’on ne feroit dans les lieux qu’on n’ose nommer ?

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