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242. (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE III » pp. 42-76

Mais il ne croit pas que sa vertu soit dans un degré assez haut, s’il ne fait monter sa piété vers Pompée, jusques à l’impiété et au blasphème envers les Dieux de l’antiquité ; car il la fait parler dans la première Scène du cinquième Acte aux cendres de son mari, en cette manière ; « Moi je jure des Dieux la puissance suprême, Et pour dire encore plus, je jure par vous-même ; Car vous pouvez bien plus sur ce cœur affligé, Que le respect des Dieux qui l’ont mal protégé. » Et sur la fin de la Scène quatrième du même Acte : « J’irai, n’en doute point, au partir de ces lieux, Soulever contre toi les hommes et les Dieux : Ces Dieux qui t’ont flatté, ces Dieux qui m’ont trompée, Ces Dieux qui dans Pharsale ont mal servi Pompée, Qui la foudre à la main l’ont pu voir égorger : Ils connaîtront leur crime, et le voudront venger ; Mon zèle à leur refus, aidé de sa mémoire, Te saura bien sans eux arracher la Victoire. » « Ce serait une fort méchante excuse à cette horrible impiété, de dire que Cornélie était Païenne ; car cela prouve seulement qu’elle se trompait, en attribuant la divinité à des choses qui ne la possédaient pas : mais cela n’empêche pas que supposé qu’elle leur attribuât la divinité, elle n’eût pas des sentiments effroyablement impies.

243. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre VI [V]. Élizabeth d’Angleterre. » pp. 142-187

Il fut pris les armes à la main par des gens qui n’étoient pas amoureux de sa personne, condamné & exécuté pour crime de haute trahison. […] Pour se venger, il l’accusa de haute trahison, contrefit des lettres, le fit condamner à être décapité.

244. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quinzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre II. Suite d’Elisabeth d’Angleterre. » pp. 33-82

Ce Prélat, homme du plus grand mérite, au jugement même des Protestans, en mourut de chagrin dans sa prison ; elle fit porter une loi injurieuse à la nation & contraire à l’humanité ; cette loi défendoit de parler en faveur de ceux qui étoient accusés de crimes d’état, dont le plus grand étoit le Papisme, & de travailler à les délivrer sous peine d’être eux mêmes réputés coupables de haute trahison, comme si on pouvoit empêcher un fils de faire voir l’innocence de son père, & de travailler à sa liberté ; jamais l’inquisition contre laquelle on crie tant ; ne fut si barbare. […] Quaud on vint le matin lui dire qu’il étoit temps de partir, elle se lève, prend son manteau, se couvre modestement de son voile, & marche vers l’échaffaud un crucifix à la main qu’elle ne cesse de regarder & de baiser avec le plus tendre respect ; quand elle y fut montée, ella adressa la parole à ses Juges & au peuple nombreux, que la curiosité y avoit attiré, elle proteste qu’elle est innocente du crime dont on l’a accusée, qu’elle meurt dans la Religion Catholique Apostolique & Romaine prête à perdre mille couronnes & mille vies pour cette sainte Religion qui fait tout son crime ; qu’elle pardonne de bon cœur tout le mal qu’on lui a fait ; qu’elle prie tous ceux qu’elle a pu avoir offensés de lui pardonner : le bourreau se jette à ses pieds pour lui demander pardon de ce que son devoir l’oblige de faire, elle lui pardonne volontiers, mais ne voulut point qu’il touchât à ses habits, se fit ôter son voile par ses filles, elle se mit à genoux, invoqua la Sainte Vierge & les Saints, pria Dieu pour le Royaume d’Écosse, de France & d’Angleterre pour le Roi son fils, la Reine Elisabeth, ses juges & ses persécuteurs, se banda les yeux, tend son cou au bourreau, récitant tout haut ses prières, & à ces paroles qu’elle répéta plusieurs fois : In manus tuas, commendo spiritum meum.

245. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre IV. Henri IV. » pp. 121-168

On fait écrire à ce Prince, devant cette femme, plusieurs dépêches importantes, qu’il lit tout haut ; entre autre une lettre impie à Gabriëlle d’Estrées sa maîtresse. […] Son intérêt parloit aussi haut que sa clémence.

246. (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Suites des Mélanges. » pp. 68-117

C’est à Copenhague  une partie de l’éducation nationale Il a déclaré par son édit que l’état de comédien ne dégrade plus, que tous les citoyens honnêtes & de la plus haute noblesse peuvent s’exercer sans déroger, & consacrer leurs talens aux plaisirs du public. […] On ne connoissoit auparavant que très-peu d’alliances de l’ancienne noblesse & de la haute robe avec les gens riches.

247. (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Mêlanges. » pp. 146-197

La quatrieme signification de ce mot écrit avec une S, un c, une n & un e, aujourd’hui commun au théatre, a l’extraction comme la destination la plus noble & la plus illustre ; semblable aux grandes maisons dont les ancêtres se perdent dans les siecles les plus reculés Ce mot qui dit de si grandes choses, s’enfonce dans les ténebres de la plus haute antiquité, & quelquefois aussi, comme les plus illustres familles, il déroge & tombe en roture, devient ignoble & une injure. […] Un jeune & précieux petit-maître, on lui sera jouer le marquis, le fat ; il est paresseux, indolent, on lui-donne à jouer l’indolence, la paresse ; il est haut, il fera le glorieux ; s’il est polisson, étourdi, il fera le valet, &c.

248. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VIII. Assertions du Théâtre sur le tyrannicide. » pp. 130-174

Voilà deux Romains de la plus haute naissance. […] Puisqu’une âme si haute à frapper m’autorise, Et tient que pour répandre un si coupable sang L’assassinat est noble et digne de mon rang.

249. (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. —  HISTOIRE. DES OUVRAGES. Pour & contre les Théatres Publics. » pp. 101-566

Elles montent sur le Théatre, à la faveur de la Musique, & y parlent plus haut que nos Loix. […] Groslei a vu les mêmes scandales ; mais en Observateur judicieux & éclairé il a reconnu qu’ils étoient réprouvés par les bonnes regles. « Il soutient que de tout ce qu’il a observé & recueilli, il ne résulte rien qui puisse justifier les injustes préjugés répandus dans certains Pays contre la régularité de mœurs & de conduite qui honore la très grande partie du Sacré College & de la haute Prélature. […] Soyons également assurés qu’on ne croit pas à Rome que la haute naissance & la jeunesse soient des titres qui dispensent de la régularité ceux qui ont embrassé l’Etat Ecclésiastique. […] Que le Monarque aime Dieu, & il aimera son peuple, & il portera du haut du Trône des regards bienfaisans jusqu’au fond de ces Provinces, dont les tristes Habitans manquent quelquefois de pain, ou le trempent souvent dans leurs larmes.

250. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE IV. Extrait des Lettres de M. Clément. » pp. 85-106

Le Machiniste, qui y fait plusieurs fois rouler le tonnerre, lui crioit du haut du ciel : Voulez-vous le coup long, ou sec & brusque ?

251. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE VI. Ericie, ou les Vestales. » pp. 138-159

que peut ambitionner de plus la fille de la plus haute naissance ?

252. (1768) Réflexions sur le théâtre, vol 7 « Réflexions sur le théâtre, vol 7 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SEPTIÈME. — CHAPITRE II. De la Danse. » pp. 30-51

Et pour y mettre le comble, ajoutez aux agrémens naturels du corps exposés, comme un Marchand étale sa marchandise, l’art de la parure la plus recherchée, l’indécence des nudités les plus dangereuses, la douceur de l’harmonie la plus attendrissante, l’éclat du théatre le plus brillant, la situation passionnée où laissent les scènes qui ont précédé, & l’art des personnes les plus exercées porté au plus haut point.

253. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VII. Est-il de la bonne politique de favoriser le Théâtre ? » pp. 109-129

Nous mettons à la tête le fameux Prince Armand de Conti, plus respectable encore par sa piété et par sa science, que par l’éclat de sa haute naissance et des grandes charges qu’il avait dignement remplies.

254. (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — QUATRIEME PARTIE. — Tragédies à corriger. » pp. 180-233

Le crime, dans cette Tragédie, me paraît être porté au plus haut degré où la méchanceté du cœur humain puisse parvenir.

255. (1781) Lettre à M. *** sur les Spectacles des Boulevards. Par M. Rousseau pp. 1-83

La certitude de trouver de ces vils objets, esclaves mercénaires & complaisans, qui volent au-devant des desirs qu’ils satisfont, sans les éprouver, leur fait préférer les Trétaux aux Théatres où regnent l’ordre, la décence & l’honnêteté, où les femmes qui y viennent, sont d’un état respectable & d’une sagesse reconnue, & où les Courtisannes qui s’y rencontrent, (& malheureusement cette vermine la plus funeste de toutes, jouit du droit de s’introduire par tout), sont d’un si haut ton, qu’à l’exception des Seigneurs de la premiere volée, ou de quelques favoris de Plutus, il fut se contenter d’admirer en secret leurs appas séducteurs, sans espérance de satisfaite jamais la passion qu’elles inspirent17. […] Quelques personnes m’ont assuré que cette farce du plus bas Peuple avait rapporté mieux de 100,000 liv., l’intrigue de la Piece roule sur un pot de…… cette ordure, dédiée sans doute aux maitres Vuidangeurs, a fait & fait encore courir tout Paris : son jargon dégoûtant est devenu le langage des femmes à la mode, des gens de bon ton & même des personnes de la premiere qualité : C’en est, Ça n’en est pas, sont des expressions contactées dans les cercles du plus haut parage. […] La vertu des hommes les plus obscurs de ceux que l’on croit les plus abjects n’est pas moins précieuse au Roi & à la Société, que celle des Citoyens constitués dans les plus hautes dignités.

256. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — Seconde partie. Notes. — [A] » pp. 297-379

Ils feignirent de descendre de ces Grands-hommes dont j’ai parlé plus haut, Inventeurs des Arts utiles, dont ils ne firent plus des hommes, mais des dieux. […] Aux Pantomimes succédèrent ces Spectacles odieux dont j’ai parlé plus haut ; & ceux-ci furent remplacés par les Farces barbares où la Comédie finissait comme elle avait commencé, par jouer les Mystères de différentes Religions2. […] « Tous les sujets des Pièces Grecques, dit monsieur Rousseau, n’étant tirés que des antiquités nationales, dont les Grecs étaient idolâtres, ils voyaient dans leurs Acteurs, moins des gens qui jouaient des Fables, que des Citoyens instruits, qui représentaient aux yeux de leurs Compatriotes l’histoire de leur Pays. » Et plus haut : « Comme la Tragédie avait quelque chose de sacré dans son origine, d’abord les Acteurs furent plutôt regardés comme des Prêtres, que comme des Baladins. » Mais chez les Romains, l’on ne donna que quelques chétives Tragédies, qui ne pouvaient faire une impression bien vive, parce qu’elles n’offraient que des Fables étrangères à la Nation ; telles étaient le Thyeste de Gracchus ; l’Alcméon de Catulle ; l’Adraste & l’Œdipe de Jules César ; l’Ajax d’Auguste, dont il fut si peu content lui-même, que ses amis lui ayant demandé un jour, ce que fesait Ajax, il leur répondu en riant, qu’il était sous l’éponge * ; la Médée d’Ovide. […] D’autres Dramatistes, que j’ai nommés plus haut, avaient préparé la voie à notre Corneille : le Poète Hardy, qui le premier encouragea les talens de ce grand-homme, & Rotrou, que Corneille lui-même nommait son père, brillaient sous Louis XIII ; la Mariamne de Tristan eut un succès prodigieux On vit dans le même temps, Mairet, Scudéry, Du Ryer courrir la carriére du Tragique : mais tel qu’un soleil brillant, Corneille effaça ces faibles astres, dont la lueur vacillante n’avait pu dissiper la nuit.

257. (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « P.A. LAVAL A M.J.J. ROUSSEAU, CITOYEN DE GENÈVE. » pp. 3-189

C’est un homme extraordinaire qu’on veut connoître parcequ’il s’est rendu fameux, et; toute sa conduite sert de preuve que les plus hautes qualités sont les plus pernicieuses dans un cœur corrompu. […] Vous avez dit plus haut que la plus belle Tragédie de Sophocle tomberoit tout à plat sur notre Théatre. […] L’art de se contrefaire, de revêtir un autre caractere que le sien, de paroître différente de ce qu’elle étoit, de se passionner de sang froid, de dire autre chose que ce quelle pensoit réellement, telle est mot à mot la définition que vous faites du talent du Comédien page 143, pour prouver ce que vous avez dit quatre lignes plus haut, que cette profession est deshonorante. […] « L’art de la déclamation étoit si considéré à Rome, que les jeunes gens de la plus haute naissance, se mêloient parmi les Comédiens, récitoient avec eux devant le peuple ; et; ces mêmes peres qui condamnoient à la mort leurs enfans, pour avoir vaincu sans leurs ordres, les accabloient de caresses et; de présens quand ils avoient mérité des applaudissemens.

258. (1731) Discours sur la comédie « SECOND DISCOURS » pp. 33-303

Tous ces degrés devaient être de manière qu’une corde tendue depuis le haut jusqu’au bas, en touchât toutes les extrémités. […] Le Proscenium des Romains était plus large et plus bas que celui des Grecs, et il était séparé de l’Orchestre par un petit mur d’un pied et demi de haut qu’on appelait Podium, et qui était orné de petites colonnes de distance en distance. […] Nous ne saurions monter plus haut qu’au temps de Caius : Ce Prince était haï de toutes les personnes qui aimaient la vertu, et n’était aimé que par le peuple et les personnes vicieuses, à cause des spectacles qu’il aimait et qu’il donnait. […] Procope dit que Cosroès Roi des Perses, étant venu attaquer cette Ville, le peuple accoutumé aux bouffonneries, se moqua de lui du haut des murailles, aussi fut-elle entièrement détruite. […] « Après amour la France abandonna, Et lors Jodelle heureusement sonna, D’une voix humble et d’une voix hardie, La Comédie avec la Tragédie, Et d’un ton double ore bas, ore haut, Remplit premier le Français Echafaut. » Garnier et quelques autres Poètes qui parurent au même temps que Jodelle, ne donnèrent presque que des Tragédies, la plupart tirées de Sophocle et d’Euripide, et c’est ce qu’a dit aussi le même Ronsard en des Vers un peu meilleurs que les précédents.

259. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III. De la Dédicace de la Statue de Voltaire. » pp. 71-94

Que de contradictions, que de haut & de bas dans les hommes soi-disans les plus grands !

260. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre IV [III]. La Grange & Destouches. » pp. 90-114

En revanche il éleve bien haut Thomas Corneille, frere du grand : Il est infiniment plus estimable qu’on ne l’imagine.

261. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre I. Continuation des Mêlanges. » pp. 7-31

Depuis qu’ils se croient des Messieurs & des Dames (de haut parage) ils se sont arrogé le droit de juger les auteurs & leurs ouvrages.

262. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE III. Suite du Mariage. » pp. 55-79

La petite femme le prit sur le haut ton : l’imbécille Moliere eut vainement recours, comme George Dandin, aux pardons & aux larmes, il fallut se séparer.

263. (1766) Réflexions sur le théâtre, vol 5 « Réflexions sur le théâtre, vol 5 — REFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE CINQUIÈME. — CHAPITRE VI. De l’indécence du Théatre. » pp. 114-137

Si dans le tragique & le haut comique on ne jette pas un si gros sel, ce n’est pas par respect pour les mœurs, c’est que le genre même l’exclud ; les Princes, les honnêtes gens ne parlent pas comme des poissardes.

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