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317. (1731) Discours sur la comédie « TROISIEME DISCOURS » pp. 304-351

» Au lieu, dis-je, de ces paroles et de ces sentiments, qui marquent si bien que Dieu lui avait fait voir par avance ce qui devrait arriver, on la représente comme une femme troublée par des doutes, occupée de pensées toutes charnelles, et partagée entre la honte, la complaisance, la vaine gloire, et la vue affreuse des derniers désordres ; car c’est ainsi qu’on la fait parler.

318. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre IV.  » pp. 97-128

Elle avoit deux vues l’une de peindre la rupture du Roi avec la Mancini, niéce de Mazarin, mariée au Connétable Colonne, l’autre de representer la violence qu’elle-même se faisoit, le frein qu’elle mettoit à son propre penchant, de peur qu’il ne devînt dangereux.

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