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339. (1648) Della cristiana moderazione del teatro. Detto la qualità delle Commedie pp. -272

Ragione si è, che viva lieto sotto il manto di onorata lode, chi vive professor verace della virtù, e che all’incontro sia bersaglio di meritato vitupero, chi demerita tra i virtuosi della sua professione. […] Cioè, che le moderne azioni non si recitino secondo la debita, e cristiana moderazione, è un lampo di verità si certa ; a chi bene vede, che sembra chiaritore più chiaro della luce stessa : ma colui, che vive in cecità, non è vagheggiator di alcun lucente oggetto ; e stima le tenebre sue non tenebrose. […] Io mi sforzerò di scioglierlo, e però concludo questo Capo con il sentimento, e con il detto di un praticone del mondo, che ancora vive, e è Grande di Spagna. […] » L’animo di chi ama, sta morto nel proprio corpo, che informa, e vive nell’altrui corpo, che l’innamora ; e però pare, che non gradisca il vagheggiare altro, che l’amato oggetto.

340. (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De certaines processions ou cérémonies religieuses, pratiquées par le clergé, et qui sont ou ont été beaucoup plus nuisibles au culte et a la morale publique que les comédies représentées sur nos théâtres.  » pp. 201-340

Les rois mages, ou le jeu de la belle étoile ; encore une mascarade qui représente les trois mages allant à Bethléem, et suivant l’étoile qui les y conduit ; ils ont chacun un page, et la figure couverte d’une têtière, portant une couronne royale ; ils font des danses, jeux et contorsions parmi lesquels on distingue une mauvaise farce, qu’en patois du pays on nomme Réguigneou, elle consiste dans un mouvement vif et successif du derrière que font MM. les pages de droite à gauche et de gauche à droite, en donnant leur dernier salut ; celui qui le fait le mieux, obtient du public, juge de ces mouvements obscènes, quelques pièces de monnaie de plus ; « 30. 

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