Croirait-on que ce même Voltaire vient de donner une édition de ce poëte au profit de cette nièce qui vit sous ses aîles, avec des notes critiques, où il épluche chaque pièce, chaque scène, chaque vers avec tant d’exactitude et malheureusement tant de justesse qu’il ne reste pas trente pages de bon du grand Corneille.
De plus, Sophocle, ainsi que je viens de dire jette en passant quelque maxime saine pour servir comme de contrepoison au mal.