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48. (1694) Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie, avec une réfutation des Sentiments relachés d’un nouveau Théologien, sur le même sujet « Décision faite en Sorbonne touchant la Comédie. » pp. 1-132

 » Or dans la pensée d’un ancien Auteur parmi les ouvrages de saint Augustin ; par les pompes du diable, on doit entendre les vanités du siècle et tout ce qui peut exciter au-dedans de l’homme l’ambition, et les mauvais désirs de la chair. […] L’on objecte que saint Bernard dans un de ses Ouvrages, traite les Spectacles de vanité seulement57. […] Il ne s’ensuit donc pas que saint Bernard, pour n’avoir pas souhaité plus de mal à ceux qui assistent aux Comédies, qu’une soif ardente de courir toujours après, n’y ait trouvé qu’une simple vanité, comme les défenseurs de la Comédie le prétendent. […] C’est donc pour cela que les Spectacles ont été introduits avec mille autres apprentissages de vanité, dans lesquels on trouve une espèce d’occupation bien plus pernicieuse qu’une entière oisiveté, il valait bien mieux demeurer oisif que de s’occuper d’une manière honteuse ». […]  » Ce que l’on ne peut point appliquer à ce qui n’est qu’une simple vanité ou qui ne fait qu’éloigner de la perfection Chrétienne.

49. (1738) Sentimens de Monseigneur Jean Joseph Languet Evéque de Soissons, et de quelques autres Savans et Pieux Ecrivains de la Compagnie de Jesus, sur le faux bonheur et la vanité des plaisirs mondains. Premiere partie « Sentimens de quelques ecrivains De la Compagnie de Jesus, Touchant les Bals & Comedies. Premiere Partie. — Entretien second. De la vanité des Bals & Comedies en general tiré des Sermons du R. Pere Claude la Colombiere de la Compagnie de Jesus. » pp. 17-25

Entretien second De la vanité des Bals & Comedies en general tiré des Sermons du R. […] Elle a condamné les dances & les spectacles en détruisant l’Idolatrie, qui les avoit enfanté, & qui a mis au jour tous ces monstres de vanité & de dissolution.

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