Le souverain qui adopterait de pareils principes n’obtiendrait jamais l’affection de ses sujets, et n’y trouverait ni gloire, ni sûreté.
Comment les Spectacles s’y trouvent condamnés, b, 102. […] Abus scandaleux qu’on a osé faire de quelques faits de l’Ecriture Sainte, pour y trouver l’autorisation des Spectacles, 348-353.