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181. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Procès des Comédiens. » pp. 169-224

La Comédie ne peut avoir rien de commun avec cet Auteur… Elle ne peut se charger d’aucun de ses ouvrages, ni les recevoir, ni même les entendre… La gloire que les Gens de Lettres réfléchissent sur la France, le mouvement qu’ils sont parvenus à donner aux esprits, leurs travaux, leurs efforts en faveur de tout ce qui intéresse l’humanité, mille autres causes réunies, donnent à ces hommes précieux l’existence la plus distinguée : l’attaquer cette existence, exclure du Théatre un Ecrivain dramatique, c’est donc blesser des droits infiniment respectables. Ajoutons que c’est attenter à ceux du Public, seul juge des Auteurs, comme il est le seul objet de leurs travaux. […] Cette piece étoit incontestablement utile : mais, parce que la Comédie n’a pas voulu qu’on la jouât, faudra-t-il donc que l’Auteur soit privé du fruit de son travail ?

182. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre prémier. De l’éxcellence du nouveau Théâtre. » pp. 68-93

Il commença même ses travaux Littéraires par composer Le Devin de Village, dans lequel on peut voir une grande partie de notre genre favori, le germe des Romances, des Ariettes & celui du Vaudeville.

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