Les femmes néanmoins ne doivent pas tirer avantage de cette force : et c’est, dit un grand Saint, comme si on se vantait de la force d’un poison malin, qui tuerait un homme sur le champ, ou comme si on estimait la violence d’un torrent impétueux qui ravagerait tout ce qu’il rencontre, ou enfin comme qui louerait la force des vents, qui font périr les vaisseaux sur la mer, et qui renversent quelquefois les arbres et les maisons sur la terre. Voilà des exemples mémorables de la puissance des femmes sur les hommes, tirés de l’Ecriture sainte.
et 2.) d’où nous avons tiré la plupart de ces faits, les statuts de la Basoche, Histoire de Paris, le Dictionn. des Arrêts. […] Elle nous fait voir, dit-on, que c’est depuis peu de temps seulement que les Ministres de l’Eglise usent envers la société d’une autorité arbitraire. » Enfin on tire une fausse conséquence de cette maxime vraie en matière criminelle « non bis in idem : Si l’Acteur et l’Auteur, dit-on, sont infâmes dans l’ordre des lois, il résulte de cette peine d’infamie, que la peine de la loi contre un délit détruit toute autre peine, parce qu’on ne doit jamais punir deux fois pour le même délit. ».