Conc. de Tours, an 1239, Can. 7 ; « 10° Défense aux clercs et aux moines d’assister aux spectacles, soit des courses de chevaux, soit du théâtre.
Mais Rousseau rachette ces défauts par des beautés d’un autre prix que les bons mots du Théâtre, auxquelles Moliere ne peut ni ressembler ni atteindre. […] (c’est donc le libertinage ; l’Auteur connoît peu celle de l’Evangile) pouvoit être la base du Théâtre. Non sans doute, aussi le Théâtre est-il justement condamné, comme nécessairement mauvais. […] Mauvaise raison, il ne faut pas faire des peintures libres du vice, c’est l’inspirer & l’apprendre ; il n’y auroit donc qu’à faire paroître des femmes prostituées sur le Théâtre, elles existent.