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40. (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XII. Réflexions sur les Evêques et les Prêtres de la primitive Eglise, et de l’Eglise moderne, suivies de réponses aux reproches de M. de Sénancourt, sur le même sujet. » pp. 212-222

Les évêques, en plaçant la couronne sur la tête des rois, faisaient accroire aux princes faibles, ignorants et superstitieux, qu’ils n’obtenaient légitimement leur royaume, qu’en le recevant de la part de Dieu, par les mains de ministres qui se prétendaient investis de la puissance divine sur terre, comme représentants immédiats de Dieu. […] Si le premier pape saint Pierre revenait sur terre avec les dehors de la pauvreté et de la simplicité, je craindrais bien qu’il ne fût méconnu de M. de Sénancourt, car il ne veut que des prélats riches, traînés dans de brillants équipages, jouissant de grands biens et logés dans de somptueux hôtels.

41. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VI.  » pp. 193-217

Elle pese vingt-cinq à trente livres, & traîne à terre plusieurs pieds. […] Il peut aussi être une comette, dont la queue longue ménace les détracteurs du théatre, & pourroit bien, comme on le craignoit à Paris il n’y a pas longtemps, donner en passant à la terre un grand coup de queue, qui renverseroit les salles de spectacle. […] On ne sauroit donner ce nom à la pointe du Capuchon, aux Dominos, qui descendent à la verité fort bas, mais ne trainent point à terre. […] Il ne descend qu’à fleur de terre. […] L’un des plus beaux titres de noblesse, & des plus brillans honneurs, qu’on ne peut disputer aux queues, c’est qu’elles sont arborées & sur mer dans les pavillons & les girouettes des vaisseaux, & sur terre dans les drapeaux & les étendards de l’armée.

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