/ 351
285. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « LIVRE PREMIER. CHAPITRE I. Le Clergé peut-il aller à la Comédie ? » pp. 10-27

 7.) va jusqu’à défendre aux Ecclésiastiques même les décorations, et les chansons tendres, qui, en flattant les yeux et les oreilles, amollissent la vigueur de l’âme, et par leurs attraits y font glisser le poison du vice.

286. (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. L’Arétin, le Tasse, l’Arioste. » pp. 38-79

Il composa pour elle une foule de poësies tendres, comme Petrarque pour Laure, quoiqu’en ce genre il lui soit fort inférieur. […] J’appelle amour cette attente profonde, ce sentiment soumis, tendre, ingénu, ce trait de feu qui des yeux passe dans l’ame, de l’ame aux sens, qui fécond en desirs, &c.

/ 351