M. d’Alembert, pour lui répondre, a rempli plusieurs Mercure de colifichets littéraires, de pompeux éloges des grâces, des talents, et surtout de l’héroïque chasteté des Actrices.
L’Avocat, dans une longue consultation, soutenue d’un long mémoire, tranquillise la conscience timorée de la Clairon, dont il élève jusqu’aux nues la noblesse, les talents, les grâces, la religion, la vertu, la supériorité des sentiments, se répand en invectives contre l’Eglise, qu’il déclare n’avoir pas même le pouvoir d’excommunier les Acteurs, gens, selon lui, les plus utiles à l’Etat, les plus distingués, etc.