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23. (1731) Discours sur la comédie « PREFACE » pp. -

Les femmes, ajoute-t-il, ne cherchent qu’à faire montre de leur beauté, en se dépouillant de la pudeur avec les habits ; mais par là même elles sont convaincues malgré elles d’être méchantes. « Viris autem et fœminis communia aperta sunt balnea et inde exuuntur ad intemperantiam (a visu enim amor proficiscitur, (perinde ac si sit eis pudor in lavacro obrutus. ... […] Theatro sunt fœdiora quo convenis. […] Et ecce jam ferme octo vel amplius anni sunt, propitio Christo, ex quo illic nihil tale tentatun est.

24. (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre XIII. Que les lois civiles défendent de danser, et d’aller à la Comédie les jours des Fêtes. » pp. 67-75

Amissionem militiæ, proscriptionemque patrimonii sustinebit, si quis umquam hoc die festo spectaculis interesse, vel cujuscunque Judicis apparitor, prætextu negotii publici, vel privati, quæ hac lege statuta sunt, crediderit temeranda. » On voit bien dans ces Constitutions pieuses et Chrétiennes, quels ont été les sentiments des Princes touchant l’observance des Fêtes, et des autres jours qui demandent une particulière application à Dieu, et à la prière, puisqu’ils ont défendu en ces saints jours, sous des peines très rigoureuses, tout ce qui sert à la volupté. […] Amissionem militiæ, proscriptionemque patrimonii sustinebit, si quis umquam hoc die festo spectaculis interesse, vel cujuscunque Judicis apparitor, prætextu negotii publici, vel privati, quæ hac lege statuta sunt, crediderit temeranda. »

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