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116. (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Seconde lettre contre les spectacles. » pp. 60-145

Ce seroit cependant un grand bien, d’avoir empêché ce scélérat de deshonorer sa famille &c &c ; mais, non sunt facienda mala, ut eveniant bona. […] Une personne réellement pieuse, ne s’accommode point de mille frivolités, & d’une vie, dont la principale occupation est de n’en avoir aucune, & dont la plus grande inquiétude est d’imaginer, à quoi on pourra tuer le tems ; passez moi le terme ; mais touchée de ses infidélités passées, elle profite avec empressement, de tous les instans présens, pour racheter ceux qu’elle a malheureusement perdus, ou criminellement employés : redimentes tempus, quoniam dies mali sunt.

117. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre VI. Suites des diversites curieuses. » pp. 138-172

Il a donné lieu à plusieurs jolies pensées que rapporte le Pere Bouhours, Maniere de penser : Falleris & nescis, non sunt spoliæ ista leonis ; Sunt tua, tuque feræ victor es illa tui.

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