On avoit répandu que cette princesse ayant désiré de voir un jugement criminel suivant les formes usitèes dans nos tribunaux, on avoit imaginé d’en faire sur le théatre un tableau d’après nature, qu’on pût voir avec moins de répugnance.
Aprez avoir offert ses premiers vœux, sa premiere estime, ses premiers hommages au grand Moliere, l’Académie Françoise a bien voulu accorder après lui à Fenelon quelque part dans les honneurs qu’elle dispense, en donnant pour sujet du prix l’année suivante l’Eloge de M. de Salignac la Mothe-Fenelon, après l’Eloge de Poquelin de Moliere.