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200. (1665) Réponse aux observations touchant Le Festin de Pierre de M. de Molière « Chapitre » pp. 3-32

Et comme j’ai connu par là qu’il n’avait pas besoin d’un grand secours, j’ai cru que ma plume, toute ignorante et toute stérile qu’elle est, pouvait suffire pour montrer l’injustice de ses ennemis.

201. (1666) Dissertation sur la condemnation des théâtres « Disseration sur la Condemnation, des Théâtres. — Chapitre V. De l'impudence des Jeux Scéniques. » pp. 104-134

Donc pour le joindre de près, il suffira d'expliquer ici que jamais l'impudence de la débauche n'inventa rien de plus détestable que ces jeux, et que l'honnêteté n'en peut souffrir le discours ni la pensée ; il ne se trouva point de gens assez effrontés capables de divertir le peuple par bouffonneries, par Danses, par grimaces, par le récit de toute sorte de lascivetés, par l'image des actions que l'iniquité couvre même de la nuit et du silence, dont le peuple ne voulût composer cette horrible dévotion.

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