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358. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE V. Des Comédiens. » pp. 156-210

J’indique en même temps les moyens d’appliquer, au profit de l’Etat, le produit du spectacle qui excèderait les frais de l’entretien, et ce n’est pas un si petit objet qu’on le pense, quoique j’aie eu soin de ménager dans mon plan une situation très avantageuse à mes Confrères. […] Pour encourager les Comédiens et leur ôter les prétextes qui semblent autoriser leur libertinage, j’ai eu soin de leur ménager un avenir si avantageux dans mon Plan qu’on ne pourrait plus s’en prendre qu’à leur mauvaise inclination et non pas à l’inquiétude du sort qu’ils doivent prévoir quand leurs talents seront éteints, du libertinage auquel ils pourraient se livrer.

359. (1782) Le Pour et Contre des Spectacles « Seconde lettre contre les spectacles. » pp. 60-145

Aussi a-t-il soin de nous dire, que bien en prit à Corneille, de ne s’être pas borné dans son Polieucte, à faire casser les statuts de Jupiter. […] Voilà, Madame, dit le brave Chevalier, ce qu’on a eu soin de me faire comprendre, en m’instruisant sur le Sacrement de Pénitence. […] Enfin, Madame, une personne respectacle m’ayant dit, il y a peu de tems, qu’elle n’avoit été que deux fois à la Comédie, & qu’avant d’y paroitre, elle avoit eu soin de s’informer des piéces qu’on devoit représenter ces jours là ; qu’y avez-vous appris ?

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