Les héros qu’on introduit sur la scène tragique, les simples citoyens qui parlent & qui agissent dans la comédie, ne paroissent-ils pas également asservis à cette passion impérieuse ?
Sur le théatre où regne , disent-ils, l’illusion, où les Dieux, les Démons, les Héros, les Fées, les Magiciens, se reproduisent sans cesse, une tête sortant de nos mains, est tantôt celle d’une Divinité, tantôt celle d’une Héroïne, tantôt celle d’une simple Bergere.