n’espérez pas me surprendre ; je vous connais, je connais votre sexe… Si vous le connaissiez, vous ne le fuiriez point ; vous ne seriez pas dans ces bois ; vous chercheriez l’objet que l’amour fit pour vous… L’amour ? Il a respecté ma vertu ; il a craint ma pénétration ; jamais il n’osa me parler pour un sexe qui n’est fait que pour mon mépris… Non, Zima, il n’a pas craint de vous parler ; mais vous avez craint de l’entendre. […] Puissiez-vous trouver une amie qui soit assez jalouse de votre estime, pour vouloir que vous méritiez celle de son sexe, par un désaveu de vos outrages !
Outre ceux qui font profession publique de monter sur la Scène, on voit dans les Collèges, dans les Couvents des deux sexes, parmi les Bourgeois, les Seigneurs et les Princes mêmes, qu’on s’amuse à jouer la Comédie.