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134. (1671) Lettre d’un ecclésiastique à un de ses Amis « Lettre d’un ecclesiastique a un de ses Amis; où il lui explique les sentiments qu’il a de la Comédie, et de ceux qui y vont. » p. 471

Lettre d’un ecclesiastique a un de ses Amis; où il lui explique les sentiments qu’il a de la Comédie, et de ceux qui y vonta.

135. (1823) Instruction sur les spectacles « Chapitre II. Le métier de comédien est mauvais par lui-même, et rend infâmes ceux qui l’exercent. » pp. 15-28

Ce peuple, enthousiaste de sa liberté jusqu’à croire que les Grecs étaient les seuls hommes libres par nature, se rappelait avec un vif sentiment de plaisir ses anciens malheurs et les crimes de ses maîtres. […] Ces grands et superbes spectacles, donnés sous le ciel, à la face de toute une nation, n’offraient de toutes parts que des combats et des victoires, des prix et des objets capables d’inspirer aux Grecs une ardente émulation, et d’échauffer leurs cœurs de sentiments d’honneur et de gloire. […] « Mais le comédien sur la scène, étalant d’autres sentiments que les siens, ne disant que ce qu’on lui fait dire, représentant souvent un titre chimérique, s’anéantit, pour ainsi dire, s’annule avec son héros ; et dans cet oubli de l’homme, s’il en reste encore quelque chose, c’est pour être le jouet des spectateurs.

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