Il n’est qu’un Comédien qui puisse faire & imprimer des raisonnemens qui pourroient tout au plus former une scène, & même assez froide, au théatre de la Foire. […] Que vos enfans, dit-il, lisent & relisent tous les jours Corneille ; interrogez-les, instruisez les sur le détail & les intérêts de chaque scène : Je doute que vous puissiez leur donner une meilleure éducation. Il n’est point d’enfans capables de saisir & de suivre les raisonnemens, les vues, les intérêts de toutes les scènes de Corneille ; cette étude est pour eux une chimère.
Hippolyte, déchiré derrière la Scène, l’accoutume à pleurer sur le sort des malheureux. […] » Quant aux beaux Arts qui préparent les lieux de la Scène des Spectacles, c’était une chose magnifique chez les Romains.