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264. (1767) Réflexions sur le théâtre, vol 6 « Réflexions sur le théâtre, vol 6 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE SIXIÈME. — CHAPITRE IV. Extrait des Lettres de M. Clément. » pp. 85-106

La scène du tragicomique tremblant qu’on ne réveille la mère, qu’il a l’art de tenir si bien endormie, est presque la seule où il ait dû la réveiller. […] Boissi ne voulant perdre ni ses bons mots, ni les profits de la représentation, changea le titre de la farce & l’appela la Péruvienne, rhabilla quelque scène, y sema des vaudevilles, & la fit jouer. […] On a même poussé l’art, selon le Courier d’Avignon, 9 juillet 1765, jusqu’à peindre dans une bague une scène de théâtre d’une maniere très-expressive & très-distincte.

265. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 4 « CHAPITRE IX. Sentiments de Tertullien. » pp. 180-200

C'est une distinction qu'affectent de ne point faire quelques-uns de nos apologistes : ils rejettent sur l'idolâtrie tout ce que le zèle des Pères a prononcé contre les spectacles, comme si l'intérêt des bonnes mœurs ne devait être compté pour rien, ou était fort en sûreté sur la scène. […] (On tâche d'éluder l'autorité des Pères, en particulier de Tertullien, en disant qu'ils s'élevaient contre l'idolâtrie qui régnait alors sur le théâtre ; on verra dans tout le reste de cet ouvrage qu'il le condamne par d'autres raisons qui ne regardent pas moins la scène moderne que l'ancienne.) […] Qu'on me dispense d'en détailler les scènes, « taceo de reliquis ».

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