Migne des Epistulae de saint Basile ne comprend que 362 épîtres, (P.G. tome XXXII). […] Il ne faut pas du moins, que nos faiblesses nous empêchent de reconnaître la sainte rigueur de sa loi, ni d’envisager le maintien austère de la vertu chrétienne ; au contraire, il faut toujours voir la vérité toute entière, afin de reconnaître de quoi nous avons à nous humilier, et où nous sommes obligés de tendre. […] Migne des Epistulae de saint Basile ne comprend que 362 épîtres, (P.G. tome XXXII).
Tandis que l’ambition allume partout les feux de la guerre, qu’elle enfante les conquérants, établit les empires sur les ruines de la liberté, le chef de la nation sainte, attiré des bords de l’Euphrate aux rives du Jourdain, en parcourt les déserts montueux, logeant sous des tentes. […] Si nous aimons la saine doctrine, le spectacle qu’elle nous offre est bien au-dessus des lettres humaines : combien de sentences profondes, de cantiques sublimes dans les livres saints ! […] « Le dernier événement du Fils de Dieu est un nouveau spectacle que Tertullien n’a point oublié : il nous remet devant les yeux la joie des esprits célestes, la gloire des saints, la rage des démons, la confusion des réprouvés. […] Je ne veux plus entendre d’autres discours que votre sainte loi12, je ne me permettrai plus d’autres occupations que celle de vous aimer, d’autre amusement que la pratique des bonnes œuvres, persuadé qu’il n’est pas d’autre moyen d’apaiser votre courroux, d’intéresser votre miséricorde, et d’obtenir, avec votre sainte grâce, le gage assuré d’une éternité bienheureuse. » 10.