Tout ce qui pouvait avilir l’âme en était banni ; on n’y employait l’amour que pour exciter la terreur et la pitié, on n’exposait sur le théâtre les malheurs et les crimes de l’humanité que pour rendre les hommes plus sages et plus vertueux.
Il est inutile de rapporter tout ce que tant de sages Ecrivains ont dit contre l’abus de cette passion devenue le mobile du Théâtre moderne.