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255. (1756) Lettres sur les spectacles vol.1 pp. -610

Il est certain que le bel âge de l’Histoire Romaine, est celui qui précéda le temps où cette Nation eut la foiblesse de se livrer au luxe Asiatique. […] Ce ne fut chez les Romains que la corruption qui ouvrit aux femmes les portes des Spectacles, & qui les y fit venir en foule. […] Nos Acteurs ne sont pas plus réservés que l’étoient ceux des Romains. […] Il ne faut donc plus comparer le Théatre François qu’avec celui des Grecs & des Romains. […] Quelle vertu les anciens Romains n’exigeoient-ils pas des Juges !

256. (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre II. Suite du Clergé Comédien, » pp. 52-67

Ce sonnet est dans le goût de celui de Scarron, où après les plus grands mots sur les monumens de la grandeur romaine, qui ont été mutilés par le temps, on s’écrie d’une façon douloureuse : Si vos marbres si durs ont senti son pouvoir, Faut-il être surpris qu’un méchant pourpoint noir ?

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