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289. (1671) La défense du traité du Prince de Conti pp. -

, qu’il fallait traiter favorablement, et avec beaucoup de charité ceux qui reviennent dans le sein de l’Eglise, afin d’inviter les autres par ce bon traitement à se convertir. […] Il avait obtenu autrefois une dispense pour pouvoir s’approprier les revenus des Bénéfices dont il avait joui dans sa première jeunesse, en distribuant aux pauvres une somme assez médiocre. […] Et comme selon les règles des sacrés Canons, les revenus des Bénéfices doivent être employés aux réparations des Eglises, et au soulagement des pauvres des lieux où sont situés les Bénéfices ; après avoir satisfait à ces devoirs, il obtint une nouvelle dispense pour employer le reste en d’autres œuvres de piété. […] Il ne voulut point que pour acheter cette maison, on empruntât de l’argent qu’on remplacerait de ses revenus, de peur de diminuer le fonds qu’il avait destiné pour les œuvres de justice, et de charité ; de sorte qu’il fallut vendre de ses terres où il n’y avait point de bâtiments, pour faire cet achat. […] . » Comme ce Prince était sur le point de revenir à Paris, M. l’Evêque d’Alet le vint visiter.

290. (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « Le Théâtre. » pp. 3-43

Chers parents, laissez-vous toucher par ces considérations et revenez à des sentiments plus chrétiens.

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