Non seulement on perd le temps qu’on passe au théâtre, mais on y apprend à perdre tout le reste ; on s’y dégoûte du travail, on s’y rend inhabile, on ne revient dans sa famille, son bureau, sa boutique, qu’avec répugnance ; on n’y trouve que des embarras et de l’ennui.
Jamais magicienne n’a déployé son art magique pour avoir un buste, il ne faut qu’un scuplteur ; aussi Moliere ne dit-il mot, quoique revenu à la vie. […] L’apothéose déjà faite au dénouement de l’Assemblée, renouvellée à celui de la Centenaire, revient pour la troisieme fois, comme cérémonie solemnelle, pour laquelle se fait la fête.