/ 403
82. (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238

C’est ce qui reste à examiner. […] C’est ce qui reste à examiner. […] Reste-t-il dans l’inaction ? […] Quelle est de ces deux impressions celle qui domine et qui reste. […] Rousseau a-t-il prétendu que l’amour reste, et que l’objet s’efface ?

83. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre V [IV]. De la Chaussure du Théâtre. » pp. 115-141

Dans le temps où n’ayant point l’usage des bas on ne portoit que des sandales ou des chaussures découpées, attachées par des rubans, la nudité des pieds, jointe à la couleur artistement assortie de rubans, pouvoit plaire à des yeux libertins ; mais depuis qu’ils sont entierement couverts, que reste-t-il à la sensualité ? […] Le reste des habits s’y prêtoit moins : des reins en bas les plis défiguroient la couronne de Marquis. […] Elles n’ont que les doigts des pieds enfermés au bout d’une pantoufle ; le reste est couvert par un bas très-fin & bien tendu. […] Il en reste quelques vestiges dans les sabots & galoches, dont le bout a une pointe d’un ou deux pouces.

/ 403