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389. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-huitieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Suite de Mêlanges. » pp. 84-120

Moliere, dit-on, avoit traduit Lucrece (une partie) ; son domestique fit des papillotes d’un des cahiers de la traduction, Moliere de dépit jetta le reste au feu.

390. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre VIII. Du Clergé comédien. » pp. 176-212

Cet homme avoit débuté par des sermons qui d’abord furent bien reçus ; mais comme ils étoient farcis des anecdotes galantes de toutes les femmes de la ville qu’il savoit mieux que l’Evangile ; on s’en dégouta ; il fut interdit ; se plongea dans la débauche le reste de sa vie qui ne fut pas longue.

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