il parle expressément des représentations qui étaient en vogue « de son temps », cent cinquante ans environ après saint Thomas : « repraesentationes quae fiunt hodie » : pour indiquer qu’elles étaient nouvelles et introduites depuis peuaa, et il déclare qu’elles sont défendues en certains cas et en certaines circonstances qu’il remarque ; dont l’une est, « si on y représente des choses malhonnêtes : turpia ».
Cela est si différent que l’Histoire ne nous dit point qu’Eschyle ait représenté dans d’autres Piéces que les siennes. […] Decimus Laberius, Chevalier Romain & Poëte, s’appliqua à composer des Mimes & y excella ; ce n’étoit point un deshonneur à Rome de composer pour le Théatre, mais on ne pouvoit y représenter soi-même sans se dissamer.