La crainte que nous avons que les Comédies qui se représentent utilement pour le divertissement des peuples, soient quelquefois accompagnées de représentations peu honnêtes, qui laissent de mauvaises impressions dans les esprits, fait que nous nous sommes résolus de donner les ordres requis pour éviter tels inconvénients. […] Ce que nous faisons afin que le désir qu’ils auront d’éviter le reproche que l’on leur à fait jusqu’ici, leur donne autant de sujet de se contenir dans les termes de leur devoir aux représentations publiques qu’ils seront, que la crainte des peines qui leur seraient inévitables, s’ils contrevenaient à la présente Déclaration.
Je lui en veux moins qu’aux censeurs d’alors, qui permirent des représentations, amas dégoûtants de tout ce qu’on peut apprendre sous les guichets de Bicêtre et de la Force. […] Et voilà les ouvrages qui obtiennent cent représentations ! […] Il y avait affluence, comme dans ma jeunesse, aux représentations du Premier navigateur et de Tarare, avec son prologue des vents. […] [NDA] Bon arlequin, dernier directeur des Variétés Amusantes, brûlé à la suite d’une représentation du Festin de Pierre de la Foire. […] [NDA] Jusqu’en 1787 ou 1788, ce spectacle donnait deux représentations.