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227. (1607) Conviction véritable du récit fabuleux « letter » pp. 3-26

L’approbation des autorités religieuses et judiciaires de la ville est manifestée par l’attestation du Prévôt et des Echevins qui clôt le texte de Gaule : « Nous Prévôt des Marchands et Echevins de la ville de Lyon, qui avons vu un petit discours, en forme d’épître à nous adressé intitulé Conviction véritable […], attestons et certifions en vérité, que le contenu en ladite conviction est aussi vrai (au fait) que ledit récit contraire est diffamatoire et fabuleux ; ne s’étant rien passé en l’action dudit jour 7 août dernier, que de grave, modéré, dévot, édificatif, et convenable au sujet entrepris.

228. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VII. Est-il de la bonne politique de favoriser le Théâtre ? » pp. 109-129

Mais peut-être qu’en qualité d’Ecclésiastiques et de Religieux décidés par état pour la sévérité de la morale, ces trois Ecrivains paraîtront suspects, quoique les Jésuites aient été souvent lavés de la suspicion de sévérité ; mais le fameux Bodin, qu’on n’accusera ni de superstition ni de rigorisme dans sa République (L.

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