Mais ce qui est bien plus important, c’est le mêlange profane du bien & du mal, de la vertu & du vice ; & cette idée fausse, contraire à l’oracle de Saint Paul, de ne pas faire du mal pour procurer du bien, non sunt facienda mala ut eveniant bona , cette alliance très-peu religieuse est réprouvée par le saint apôtre, II Cor. 6. […] Joconde, les deux amis, la matrône d’Ephese, le talisman contre le Pape, le curé & le mort, l’âne chargé de reliques contre le clergé, comme une grande partie de ses contes contre les religieux, les prêtres, les choses saintes.
Les Chrétiens ont aussi les leurs, elles ont leurs significations mystérieuses, le détail de ces spectacles religieux, chez tous les peuples du monde, fourni sept à huit volumes in folio à la plume de l’Abbé Basnier, & un millier de planches au burin, de Picard.