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310. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Huitième Lettre. De la même. » pp. 100-232

Dans toute la Pièce, on reconnaît un Auteur d’une appercevance exquise, qui saisit tout, & qui fait tout mettre dans un jour convenable. […] Chaque Garson & chaque Fille, ne joueront que dans la Pièce pour laquelle on leur aura reconnu plus de talens : de sorte que le Public ne verra plus un Tyran de Tragédie, Paysan dans une Pièce bouffonne ; Palmyre & son frère expirans, il n’y a qu’un quart d’heure, subitement métamorphosés, l’une en Lucinde, l’autre en Charmant, courir l’un après l’autre dans l’Oracle.

311. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre IV.  » pp. 113-155

Ce fut elle encore qui pour se venger d’Henri IV sollicita la Bulle de Sixte-Quint, qui déclare ce Prince incapable de porter la couronne de France, l’en déclare déchu, & défend de jamais le reconnoître ; dans le même temps qu’elle établissoit en France les opinions ultramontaines elle empêchoit la reception du Concile de Trente.

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