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257. (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Mêlanges. » pp. 146-197

C’est un fait unique dans l’histoire, qu’un roi compose, prononce, donne au public un discours, l’éloge d’un académicien, bien plus, d’un fou, d’un débauché, d’un impie, reconnu pour tel dans toute l’Europe ; qui n’a échappé plusieurs fois au supplice que par une fuite précipitée, & qui a consigné dans ses livres le systême le plus extravagant, sans même se voiler dans les titres. […] Brioché l’apperçut & le reconnut, malgré son déguisement, il le montra au doigt, & dit tout-haut : Voilà M.

258. (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE IV. Pieces singulieres. » pp. 107-153

Mais, dit-il, Eustache n’a jamais reconnu Edouard pour Roi de France. Et pourquoi l’auroit-il reconnu ?

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