répondit-elle en soupirant & versant des larmes, vous croyez bien que s’il n’étoit pas mort, je ne serois pas ici. […] L’écuyer me riant au nez & me regardant d’un air de pitié, me répondit, êtes-vous fou ? […] Quand on parle de serment, le dévot Azelan répond en acteur d’opéra : Le serment d’aimer une belle, est un serment sacré comme on le fait aux dieux.
Je prends d’abord la Comédie de l’Avare, & je demande quel doit être le but de cette piece ; on me répond que c’est celui d’inspirer de l’horreur pour l’avarice : voyons si Moliere a réussi.