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317. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE V. Remarques sur L’Amphitryon, Le Roi Arthur, Don Quichotte et Le Relaps. » pp. 302-493

Dryden appelle des Embellissements, Valère Maxime les condamne « comme des taches de la paix  : il assure que ces Places furent des occasions de troubles au dedans, que Rome eut d’abord honte de ces spectacles, et qu’ils lui coûtèrent après cela du sang répandu. […] Voilà comment le Théâtre répand la contagion : on y rappelle dans les cœurs d’infâmes amours, ou même on les y excite en ceux où elles n’étaient point.

318. (1754) Considerations sur l’art du théâtre. D*** à M. Jean-Jacques Rousseau, citoyen de Geneve « Considérations sur l’art du Théâtre. » pp. 5-82

Euphemon, le Pere du Philosophe marié, le Frere de l’Ecole des Maris, Ariste dans le Méchant, Dorimon dans Cenie ; une foule d’autres vieillards rendus respectables sur la scene, sont-ils des témoignages de l’avilissement que le Theatre s’efforce de répandre sur la vieillesse ?

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